anime × reader (Commande Fermé)

⁵¹| Zack

OHAYO (pokko)
De base je préparais ma meilleure excusée pour mon absence mais finalement j'en ai aucun appart la flemme :) donc je m'excuse hehe

Sinon j'ai regardé Sk8 the infinity et j'ai adoré je vais rapidement écrire des OS sur les perso !

○ commande de : La_fille01 ○
J'avoue avoir eu un peu de mal avec cet OS ^^ j'espère qu'il te plaira quand même !

• Prochain : Kirishima (commande)
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Les déchets jonchaient le sol gris, les murs sombres étaient couverts de taches de sang les rendant encore plus sale qu'ils ne l'étaient. Seul le bruit de tes pieds se posant sur le sol résonnait dans ces couloirs gris. Un oiseau blanc s'envola devant toi, mais avant que tu eus le temps de l'apercevoir plus de 2 secs une lame le transperça. Tu te précipitas sur son corps, chaud mais dénoué de vie. Une larme coula le long de ta joue, tu le pris doucement dans tes mains essayant maigres toi de trouver un signe de vie dans ce petit corps. Une fois sûr qu'il n'y avait rien à faire tu te retournas vers l'homme qui l'avait tué. Quand tes yeux rencontrèrent la sienne une lame longea ta George. L'effleurent juste assez pour permettre à un léger filer de sang de couler. Son visage recouvert de pansements laissant juste apercevoir son sourire que tu trouvais terrifiant.
- Ce n'est pas amusant quand les personnes font par peur
- J'ai terriblement peur.

Son visage détailla le tien quelque seconde, la peur était-elle que cela te parut des dizaines d'heures. Il voyait la peur dans ton regard mais tu ne pas bouger. Tu semblais vouloir combattre cette peur. Tu ouvris légèrement ta bouche, ta langue les effleura les hydratant légèrement. Tu pris une grande inspiration avant de chuchoter
- On faut comment pour sortir ? En vie ?
- Tu peux pas, et même si tu y arrive tu vas mourir aux étages supérieurs.
- ah... Et tu vas me tuer hein ?
- Oui.
- Mais tu dois en avoir marré d'être seul dans cet appart ? Immonde.

Il réfléchit longtemps, pesant le pour et le contre. Un peu de compagnie ? Depuis le vieux monsieur, personnes ne lui avaient apporté de la compagnie. Tout le monde l'avait vue-t-elle un monstre. Mais toi tu avais juste peur, tu n'avais aucun dégoût envers lui. Il l'avait vue, tu avais plus peur de sa fauche que de lui en soit.
- Très bien je te garde en tant qu'animal de compagnie.

Ok, ta première étape était réussie, tu allais réussir à survivre encore quelques jours. Un délai surement limitait mais qui te donnerait assez de temps pour réfléchir. Il te guida jusqu'à sa "chambre", il t'indiqua un endroit par terre où il balança une couverture au sol en te disant de dormir ici.

Pendant la nuit, tes dents claquaient dû au léger courant d'air froid qui atterrissait directement sur toi. Tu mourrais de froid mais n'osais faire aucun geste dû à ton colocataire. Mais ce dernier entendait très bien tes claquements de dents répétitifs. Malgré lui quelque chose au fond de son être lui disait : "tu ne peux pas la laisser comme ça". Alors dans un grand soupir il te dit de venir avec. Tu hésitais mais son ton se fit plus menaçant alors tu glissas dans son lit. Il te couvrait de sa grande couette. Le petit lit une place te forçait à te coller légèrement à lui. Il devait être torse nu car ta peau était directement en contact avec c'est bandes qui te grattaient légèrement.

Comment faisait-il pour les garder sur lui tout le temps ? Et pourquoi les avais-t-ils ? Tes yeux se fermer tout seul en pensant à tout ça. Après tout ça présence n'était pas déplaisante elle était même plutôt rassurante. De son côté le brûlé ressentait une étrange chose dans son cœur. Il avait la même impression que quand il tue, mais cette fois c'était parce que tu étais là, contre lui a dormi signe que tu lui faisais confiance.

Le lendemain matin tu te réveillas seul dans ce grand lit. Tu reniflas légèrement l'air de cette pièce. L'odeur de moisissure y était prenante et les déchets par terre y étaient peut-être pour quelque chose. Après presque 1h de travail tu avais fini, plus rien de ne jonchaient le sol appart tes petits pieds et les meubles. Tu soufflas, mais les bruits de porte te coupèrent dans ton semi-repos. Il s'agissait de Zack couvert de sang. Il allait se poser sur son lit mais tu l'en empêchas.

- À non tes draps sont propres ! Hors de question que tu mets une odeur de sang dessus !
Suite à ces mots même pas un souffle s'échappa dès tes lèvres car une lame se poser sur ta gorge.
- je ton laissé en vie alors ne me donne pas d'ordre petit chien.

Les semaines passées, tu t'entendais mieux avec Zack, tu lui apprenais à écrire et lire. Il te traitait mieux, arrêter de t'appeler "petit chien", vous vous entendiez mieux.
Mais malgré tout ça tu ne voulais sortir, tu avais besoin de soleil et de liberté. Et ça Zack l'avait remarqué, il ne voulait pas te laisser partir. Il avait un sentiment bizarre quand il pense à te laisser partir. Mais voyant que ton état se dégrader il du se décider à te faire remonter à la surface.

Alors pendant plusieurs jours vous avez passé les nombreux étages. Jusqu'à arriver à la porte de sortie. Ta main dans la sienne, son pouce qui caressait délicatement ta main pâle due au mange d'UV. Il te regarda, son regard exprimer toute la détresse qu'il pouvait ressentir en te laissant partir.
- Zack vient avec moi. On pourrait voler une voiture et partir loin d'ici. Vivre ensemble.
- Non.
- C'est quoi ton problème ? Pourquoi tes fâché avec le monde entier ?
- Ce n'est pas moi qui suis fâché avec le monde entier, c'est le monde entier qui est fâché avec moi. Suffit que les gens jettent un œil sur moi est "AHHH J'AI PEUR REGARDER LE GRAND BRÛLÉ" je ne veux plus voir ces regards sur moi.
- Mais moi je t'aime Zack... brûlé ou pas.
- Part où je te tue sur place.
- Z... Zack

Il se sentait mal de te faire ça, mais il le devait. Ta place n'était pas ici avec lui. Mais dehors dans la société humaine qu'il détestait tant. Tu n'étais pas heureuse avec lui, il le savait. Et l'emmener dehors avec toi serait la pire des erreurs. Tout cela il le savait, il devait donc te faire fuir. Par la peur s'il le faut.
- Je t'ai dit de dégager maudite humaine.

Sa faux se leva et manqua de te trancher en deux. Prise de peur tu te précipitas vers la sortie, les larmes aux yeux de devoir quitter l'homme que tu aimes.

- Fui (t/p) retrouve ton ancienne vie loin de moi.

Depuis se jours Zack se sentit étrangement vide, il rêvait de revoir ton petit corps contre le sien quand il dormait. Mais tu devait être heureuse avec un autre désormais. Cet idée le détruisait mais au moin, il avait réussi à te sauver.

1150mots