anime × reader (Commande Fermé)

⁷²| Killua × (boy)

Hehe vous êtes gâté en ce moment ! Deux OS deux jours d'affilée ! 
(Sinon je galère pour mon autre projet...)

• Commande de : call_me__babygirl •

• Prochain : Midorima •

_________________________________________

Tu te dépêchais dans les grands couloirs que composait le domaine Zoldyc. Tenant dans ta main gauche un plateau avec tout ce qu'avait demandé Maître Killua. Il avait spécifiquement demandé à ce que tu sois son servant attitré, et ça faisait désormais 1 an que tu ne servais que lui a longueur de journée. Mais étrangement il ne pas traiter mal, comme pouvait le faire les 2 aînés de la famille d'assassins. Tu arrivais devant la porte de sa chambre, le son sourd résonnait alors que la phalange se ton index taper sur le bois épais que composer la porte.
- Entre
Tu poussais la porte, fessant attention ne pas renversée les deux citronnades posées sur ton plateau qui était dans un équilibre précaire au milieu de ta main.

- Bonjour Maître Killua, comment allez-vous aujourd'hui ?
- (t/p) je t'ai déjà dit de tutoyer et de m'appeler simplement Killua. Sinon je vais bien et toi ?
- Mais vous êtes mon maître, je ne peux me permettre de vous abaisser à mon niveau.
- Tu es un humain tout comme moi, tu n'es pas inférieur (t/p) alors s'il te plaît tutoie-moi, juste ça.
- Je peux essayer maître.

Le petit blanc soupirait de désespoir, cela faisait 1ans qu'il essayait de te faire te comporter normalement avec lui, et cela faisait 1ans qu'il échouait lamentablement. Il te montrait vite fait une petite table du doigt, t'indiquant de poser les verres et le plateau dessus, ce que tu fis. Ton maître s'installer sur la table et prise une des boissons.
- Tu vas me laisser boire seule ?
- Je ne peux pas...
- Ne recommence pas avec tes trucs d'infériorité. Je veux que tu boives cette limonade avec moi ce soit un ordre.
Tu montais difficilement sur la table surélevée comme les chaises. Une fois assise face à ton maître tu baisais la tête n'ose pas le regarder dans les yeux. Tu le savais si un autre Zoldyc arrivait se serait très embêtant et tu te prendrais probablement une belle correction. Mais tu devais obéir à ton maître en premiers lieux, alors tu bus la limonade, d'un traître mais tu la bus. Tu descendis de la grande chaise récupèrent le plateau et ton verre.
- Je m'excuse monsieur, je reviendrai chercher votre verre dans 30 minutes. Bonne dégustation.

Quand la porte se refermait derrière toi, un grand silence se mit à planais dans la chambre. Killua soupirait, allais-tu un jour arrêter de te comporter comme ça ?  Arrêtez de le fuir ? Il le savait, derrière c'est moyen de prendre des distances il y avait probablement quelque chose, mais il ne le trouvait pas. Ou tout du moins par pour le moment, il finirait bien par découvrir ce qui te hantait.

Le lendemain, killua était d'une humeur sinistre. Il avait eu entraînement avec son père, et aujourd'hui il c'était concentré sur la résistance à la torture. Ton jeune maître trainait des pieds jusqu'à sa chambre, où il savait qu'a cette heure tu l'attendais. Son corps ne répondait presque plus tellement la douleur était vive, on pouvait le suivre grave à un filet de sang qu'il faisait tomber sur les moquettes noires en marchant. Il arrivait dans sa chambre, et comme par soulagement de te voir il tomba immédiatement dans les pommes.
- KILLUA !
Tu courus vers lui, mais son corps ne répondait pas. Son cerveau l'avait probablement fait tomber dans les pommes pour soulager son corps meurtri. Tu réussis à l'allonger sur le grand lit, tu le mis à nu pour pouvoir soigner chacune de ses plaies, soigneusement.

La grande porte s'ouvrit de manière fracassante, et dans le cadre de la porte se trouvait Silva, il avait l'air très en colère, trop en colère. Il jetait un regard à son fils, allonger dans le lit et inconscient puis à toi, qui tenait encore dans ta main un chiffon légèrement rouge au sang que tu avais essuyée de son corps pâle. Le grand blond s'approchait de toi, en colère, très en colère.
- Qui t'a autorisé à soigner mon fils esclave ?
- Je... désolé seigneur, mais j'ai pour ordre de prendre soin de maître Killua.
- Tu n'es rien pour me répondre.
Sa main s'élevait à son plus haut point, prête à s'abattre sur tout ce qui passerait son chemin, prêt à défouler la haine que ressentait son corps. La main s'abaisse à une vitesse incroyable, tu fermais les yeux prêts à recevoir la baffe, mais tu ne ressentis rien mais un bruit se fit entendre.

Tu ouvris les yeux, et vis au sol Killua sa joue était rouge, presque violacée. Tu te précipitais vers lui
- MAITRE KILLUA
- Ne t'inquiète pas (t/p) j'ai l'habitude. Va te mettre en sécurité s'il te plaît.
Tu allais lui obéir quand une grande main attrapait ton bras fin.
- Il reste là
- Il t'a rien fait. Grommelait killua entre deux gémissements de douleur.
- Il m'a désobéi, aucun servant n'est autorisé à te soigner.
- C'est moi qui lui suis donné l'ordre lâche le. Je ferais ce que tu veux en échange.
- Mais tien c'est que tu dois y tenir à ce gamin. Très bien, je le relâche mais il est virer du domaine Zoldyc.
Sur ces mots le père de Killua te jetait violement en dehors de la chambre et ordonnait aux autres servant de te mettre dehors. Ce qu'ils firent.

3 mois étaient passés, tu étais partie à la tour céleste. Un homme t'avait pris sous son aile, il t'a appris à te battre et a maîtrisé le Nen. Tu avais poussé de plusieurs centimètres, pris de la musculature. Tu ne ressemblais plus au jeune enfant qui se faisait battre alors qu'il était esclave. Non, tu ressemblais à un ado sportif en pleine santé, et ton aura monter une certaine puissance. Aujourd'hui tu avais décidé de prendre du repos bien mérité. Tu te baladais dans les couloirs, et tu sentis le Nen de ton maître se déclencher, automatiquement tu te dirigeas vers cette source de Nen.
- Maitre hisoka tout va... Maitre killua que faite vous là ?
- (t/p) ? 
- Je croyais que mon père t'avait tué !
- Non, j'ai failli mourir mais maître hisoka m’a pris sous son aile sous la demande de maître Illumi.
- Illumi ? S'étonnait Killua
- Oui, il a dit qu'il était prometteur et que ta perte te ferait souffrir. Expliquait Hisoka.

Après discussion tu étais parties avec Killua dans sa chambre, il était encore à un étage assez bas et ne posséder donc pas une chambre digne de ce nom, mais ça ferait quand même l'affaire pour quelques jours. Car oui tu ne participais pas au combat sous peine de faire savoir à Silva que tu étais toujours en vie. Tu restais habiter chez Hisoka, mais désormais Killua t'héberger.
- Bien fait comme chez toi. Dit timidement le blanc.
- Merci killua.
- pourquoi tu me dis merci ?
- Tu ma protégée de ton père la dernière fois, alors merci.
- Tu peux faire quelque chose pour me remercier. Dit Killua
- Quoi ? T'interrogeais-tu.
- Pourquoi tu étais aussi gêner quand tu étais en ma présence.
- Parce que je vous aimais Maître killua
- Aimais ?
- Parce que je vous aime Maître Killua.

Ce dernier fut choqué de ta révélation. Mais il ne dit rien, et pour montrer la réciprocité de ces sentiments il t'embrassa avec maladresse mais tout son amour se répercutait dans ce baiser.

1210mots