¹¹| livaï

8K 327 105
                                    

Bonsoir :)
Vous allez bien ?
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Tu lui lança un regard, un regard qui voulait tout dire. Qui allait du je t'aime a je m'excuse. Alors tu t'élança pour abattre le titans mère.

Hange avait découvert que les titans était comme une grosse fourmilière. Il y avait une reine qui pondait.

Tu était là personne qui abatrait cette bête, et part ton instinct tu savais que tu allais y passer. Livaï hurla que tu ne devait pas y aller. Mais tu ne l'écoutais pas une fois de plus. Tu trancha la nuque de cette énorme titans. Est bizarrement il explosa t'emportant avec lui dans l'explosion.

Apres l'explosion le seule bruit qu'on entendait était les sanglots. Mais surtout les hurlements de détresse de livaï. Il hurlait qu'il t'aimer, mot qu'il n'avait jamais osé te dire. Il hurlait toute sa détresse est son désespoir.

Il se réveilla d'un coup couvert de sueur. Les larmes coulant seule sur son visage. Il prit une douche rapide et alla comme a son habitude prendre un thé et se poser devant ta statue. 3 mois que tu était morte... ta mort était jugée par tout le monde de héroïque. Tu était là libératrice de l'humanité. 2 statues étaient à ton effigie, une au milieu du mur rose et l'autre dans le QG du bataillon.

Apres ta mort livaï c'était enfermé pendant 1mois, pour qu'il sorte Erwinn du le menacer de le virait. Une fois de retour parmi le bataillon il furent choqués par son changement. Livaï avait toujours était froid mais la... quiconque essayait de lui parler avait un mur de glace en fasse. Il était encore plus froid et distant, il prenait même plus la peine de lâcher son "tch".

Les seules moment où on pouvait le voir calme était quand il était posé devant ta statue. Comme actuellement à chaque fois il se souvenait de toute tes mimique.
Le matin tu avait pris pour habitude de lui embrasser la joue. Il en avait tellement pris l'habitude que quand tu le fesait pas il était grincheux comme jamais. Tu était une caporal mais c'est pas pour autant que tu fessait pas de connerie. Tout au contraire, ton escouade t'aider beaucoup dans tes conneries. Vous étiez le rayons de soleil du bataillon. Rayon de soleil disparu depuis ta mort.
Livaï sourit il repensé à tour ses soirs où tu était venu lui parler une tasse de thé a la main. Tu avait aussi décidé de dormir tôt pour te lever le plus tôt possible, comme sa tu le laisser moin seule la nuit.

Et puis il y avait eu cette nuit où il avait perdu son escouade. Personne ne le savait mais se soir la tu était venu le voir. Et sur ton épaules il avait pleuré des heures et des heures. Tu ne disait rien le laissant extérioriser son mal. Tu lui caressait juste ces cheveux doucement, comme un geste d'une mère envers son enfant pour le rassurer.

Il souriait fasse a tous ces souvenirs de toi. Et si il avait su il aurait profiter de chaque seconde avec toi. Il t'aurait avouer ces sentiments. Il voulait fonder une famille avec toi... Il s'y voyait bien, une petite maison à la campagne. 2 enfants courant dans tout les sens dans le jardin. Vos deux fidèles chevaux dans un pré prenant une bonne retraite. Il le voulait tout ça... avec toi, mais tu n'était plus là.

Les soldats commençais à affluer dans les couloirs, Livaï se leva donc pour son bureau. Il devait partir à Trost pour régler un affaire avec Hange et Erwinn. Alors que sa fesait 2h qu'il y était un message arriva en urgence prévenir Erwinn et Hange qu'on avait besoin de lui au plus vite.

Le messager fit lirent la cause au deux gradés, il lui lancèrent un regard avant de se diriger sur les chevaux. Il reçu l'ordre de règler cette affaire, si il devait rester plusieur jours il payerait les auberges.

Puis il partirent à toute vitesse. Je senti quelque chose de froid se poser sur mon nez. Il neige... Encore une fois sa le fesait penser à toi. Tu adorais la neige et Noël. Le bataillon avait un sapin à cause de toi. Chaque année tu fesait chier Erwinn pour l'avoir. Il était vrai que Noël était plus joyeux avec toi.
Il se reprit pour continuer la mission.

Il reviens au bout de une semaine. A son retour tout le monde agissait bizarrement avec lui. Et bordel que sa l'énervait. Dans 2semaines sa serait Noël et son anniversaire. A cette période il s'enfermait toujours dans son bureau. Enfin encore plus que d'habitude.

C'était à cette période que tout le monde était mort, juste avant l'hiver. Il maudissait cette période comme la peste noir.

Le 25 décembre venu il resta enfermé dans sa chambre plus maussade que jamais. Quelque jours après la mort de sa bien aimé, une soldate lui avait offert des dessins de toi. La plupart des nuits il admirait ta beauté en dessin. Il revoyait tes (l/c) cheveux (c/c). Tes yeux (c/y) si expressif, ta peau (c/p) mais surtout ton sourire. Se sourire que tu avais cassiment toujours.

Il se souvient de se jours où il t'avais demandé comme tu fesait pour toujours sourire. Tu avait sourit et lui avais dit " Si pour que vous soyez heureux je doit sourire en étant triste je serait prête a se sacrifice". Il avait alors compris que tu était comme lui, mais lui se renfermé en ne montrant pas ces émotions toi... tu souriait même au bord des larmes. Ils repensait à toi quand on toqua a sa porte. Il grogna vaguement "entrez".

Bizarrement ou pas il était pas étonné de voir la folle aux titans devant lui. Elle lui dit que sur ordre du major il devait absolument venir. Quand il demanda pourquoi en s'avançant vers sa porte. Hange esquissa un sourire, pas comme les autres il était juste là pour montrer son bonheur et elle avait juste soufflé.
- On a un cadeau
Il s'avança alors vers le réfectoire beaucoup trop bruyant à son goût. Il allait faire demi tours quand il l'entendit. Il entendit se rire qui connaissait que trop bien. Il se retourna, à ce moment tout le monde s'equarta pour faire un chemin venant a elle.

Il la voyait elle, c'est cheveux (c/c) bien plus long que la normal. Il voyait toujours se sourire au visage. Il l'admirait il remarqua une longue cicatrice qui commençait derrière son oreille droite, pour sûrement passer entre ses seins, elle devait sûrement descendre jusqu'à sa hanche gauche.

Elle avait un œil qui était devenue bleu/gris, il supposa qu'elle était aveugle de cette œil. Elle lui souriait. Il avançait doucement comme si elle pouvait être effrayée. Alors qu'il était en face d'elle il posa sa main sur sa douce joue (c/p). Il sentit sa main devenir humide, elle pleurait. Il réagissez comme si il voyait un fantôme. Remarquant sa tu pris sa main pour la coller au niveau de ton cœur.

- Je suis la Livaï, je suis revenu

S'en était de trop il te prit dans ses bras. Puis il se sépara de toi d'un coup pour prendre ta tête en coupe et t'embrasser. Tu n'attendit pas pour lui rendre se baiser. Vous vous sépariez il posa son front sur le tien. Avant de souffler assez fort pour que tout le monde entende

"je t'aime"

Un sourire se dessina sur les lèvres de l'homme dit sans émotions. Tout le monde applaudit, cria et siffle.
Et oui tu était la en vie, mais il y a 2 semaine quand es arrivé à dos de cheval tu était très mal en point. Hange avait passé de nombreuse nuit blanche car une hémorragie se déclaré quelque part. Mais au bout de 1 semaines ton état c'était stabiliser avant de s'améliorer à une vitesse ahurissante.

Tu avait survécu grâce à lui, tu ne pouvais pas le laisser seule. Pas encore une fois.

Depuis ce jour Livaï est toi avait pris votre retraite. Vous viviez la vie qu'il avait toujours voulu vivre. Mais à la place des gosses c'était les jeunes du Bataillons qui venaient mettre la pagaille.

1365mots

anime × reader (Commande Fermé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant