anime × reader (Commande Fermé)

¹³| Feitan

Bonjour :)
Eh bien je pose tard je pense que vous l'avez remarqué. J'aime bien ce "×reader". J'ai mis du temps à trouver le scénario. A vrai dire je l'ai trouvé en l'écrivant. Je savais juste le Nen. Si cela vous intéresse je pourrais même faire une partie 2. Je pourrai normalement sortir une histoire vendredi.
Faite attention à vous et à la prochaine :)
⚠️ attention scène un peu violente⚠️

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Tu ouvris difficilement les yeux. Tu sentais quelques choses coulaient le long de ton crâne. Tu voulus porter ta main à ton crâne mais ton geste fût arrêté par des chaînes. Donc tu étais enchaînée, dans le noir et du sang coulais de ton front. Un seul mot pour décrire la situation "merdique". Tu voulus tester la résistance des chaînes quand la porte s'ouvrit. Le soleil qui passa à travers de la porte t'éblouit.

L'enfant qui entra dans la pièce alluma les lumières et referme la porte. Il s'avança vers toi et tu put t'empêcher de rigoler en comprenant que c'était un homme d'âge mature. En te voyant rigoler il te frappa, pour le moment tu te laisses faire :
- Tes pas en mesure de rire !
Ces mots pour aucune raison te firent encore plus rire. On ne va pas se mentir tu rigolais pour un rien, c'était dans ton caractère. Tu voulus essuyer une petite larme au coin de ton œil mais la seule chose que tu arrivas à faire et de faire teinter le bruit des chaînes.Tu grognas des mécontentements.
- Bon je t'explique je vais te torturer jusqu'à ce que tu nous dises tout sur le type à la chaîne.
- Ok comme tu veux. Je te préviens je ne suis pas si facile que ça a torturé.

Il commença, mais il fit une erreur fatale il effleura ta peau avec une partie de sa peau à découverte. Alors qu'il commençait à t'arracher un ongle il ressentit une vive douleur dans le doigt. Sous la colère il te l'arrache d'un coup. Mais tu ne grimaças pas par contre lui... Il t'arrache tous les ongles, un par un mais tu ne ressentais rien toute ta douleur était transférée à lui. Tu avais les blessures et lui la douleur. Il sortit en gueulant comme un porc qu'on égorge te laissant avec le bruit de ton sang goûtant sur le sol.

Il revient 5 min après avec une autre personne. Cette personne commença lui aussi à te torturer. Oups il a touché ta peau. Il se mit lui aussi à ressentir la douleur. Il souriait comme quand on a trouvé un objet qu'un chercherait depuis longtemps.
- Tu es de la manipulation ?

Tu regardas plus attentivement l'homme. Il était nettement plus grand que le nimbo qui t'avait torturé en premier. Des cheveux de jaie est un bandeau qui couvrait son front. Voyant que tu répondais pas "l'enfant" recommença à te torturer.

- Feitan arrête-elle ne ressent pas la douleur.
Donc le nom du petit était Feitan. Intéressant !
- Dans le mille.
- Tu va voir sale garce je vais te couper la langue.
Là c'était un Feitan très énervé qui s'avançait vers toi une dague a la main. Son chef allait l'arrêter mais tu le fis avant.
- Voyons mon chou si tu me coupes la langue je pourrais plus parler.
- c'est le but !
- mais je ne pourrais donc pas te dire ce que je sais du type a la chaîne.
Là il s'arrêta, il réfléchissait avant de poser la dague. Le chef prit la parole.
- Je dois donc comprendre que tu veux coopérer ?
- Qui vous a dit que je voulais pas coopérer dès le début ? Tu dis sa avec un petit rictus
- Je vois tu voulais montrer de quoi tu es capable ?
- Nan juste m'amusait un peu, bon désolé mais elles me gênes.

Sur ces mots tu tiras d'un coups secs qui brisèrent les chaînes immédiatement. Tu t'assois et regardes tes ongles. Tu grognas tu'aimais pas les avoirs court, alors ne plus en avoir...
- Eh bien maintenant parle que sait tu ? Du du type a la chaîne ? Demanda le chef
- j'y gagne quoi à vous raconter ça moi ?
- Que veux-tu ?
- Une protection.
En réalité tu voulais autres choses aussi mais tu pouvais pas le demander. Mais ce qui semblait être le chef avait l'air de lire dans tes pensées
- Une place dans la brigade et libre. Tu aurais notre protection mais surtout une nouvelle famille.

Tu te mis à réfléchir... sa te paraissait plutôt un bon comme choix a vrai dire.
- Bien sa me va.
- On va donc te présenter aux autres. Comment t'appelle-tu ?
- (t/p) Kuruta.
- Oh je vois, je suis Kuroro Lucifer et lui c'est Feitan

Il te montra d'un signe le "nain". Puis vous montiez à l'étage pour découvrir tous les autres membres. Tu les aimais bien tous sauf Hisoka que tu trouvais malsain. Il te regardait étrangement. Une petite partie de la brigade n'était pas là. 3 membres pour être exacte. Ils arrivèrent dans la soirée, il s'agissait de Machi, Pakunoda et Phinks.
Tu t'entendais à merveille avec la rose et tu considéras très vite Paku comme une mère. Les jours passés et tu t'entendais de mieux en mieux avec tout le monde. Tu partais rarement en mission pour le moment. Un jour Kuroro était venu te voir.
- (t/p) est ce que tu acceptes que je te prenne ton nen ? Celui que tu as utilisé lors de la séance de torture.
- Hummmm, oui mais c'est complexe.
Tu passas 1h à lui expliquer le fonctionnement. Feitan, Paku, Machi et Hisoka écoutent eux aussi attentivement. À la fin des explications les seuls mots qui puissent sortir de la bouche de Kuroro étaient :
- merveilleux.

Des Nen aussi spéciaux il en avait rarement vu. Il cherchait toujours ce genre de nen pour agrandir son livre. Une fois fini il annonça une mission pour 2 jours. Seule toi et Feitan participeront. Le but ? Faire un carnage et voler tout ce qu'il y a de la valeur.

~~~~~~~~~jours de la mission~~~~~~~~ Tu étais habillée dans une belle robe (c/p) avec un joli dos plongeant. Feitan avait eu un bug de quelques secondes en voyant te voyant dans cette robe. Vous avanciez doucement vers les lieux du carnage. Au bout de 2h l'heure était venu. Tu avais fait en sorte de toucher le plus de personne possible. Ton nen marchait grâce à de l'ADN. Un simple toucher déposé forcément un petit bout de peau sur la personne visait. Alors il serait sous ton emprise. Tu enclenchant alors des vives douleurs sur tout le monde de partout. Puis sortit une belle dague en argent. Et commencèrent tes meurtres. Feitan lui s'éclate avec un sabre. Vous amusiez à tuer le plus de personnes possible. Alors que tu tranchais des têtes, éventrer des gens laissant leurs boyaux tombés à terre. Tu sentis une aura extrêmement forte. Tu te retournas pour voir feitan combattre un homme de 1m90, imposant et musclé. Le combat était serré mais feitan prenait l'avantage. Tu vis le géant s'effondrer, puis Feitan te regarder une plaie béante au ventre. Il murmura quelque chose quoi tu ne le savais pas. Ce que tu savais c'est qu'il s'effondra au sol. Tu accourus vers lui, il y avait un seul moyen de le sauver. Tu y étais prête. Tu pris juste le temps d'activer ton nen sur Kuroro tu fis en sorte que sur son bras soit tracé un message "help". Il saurait que c'était toi, il était bien assez intelligent pour le comprendre. Une fois tout cela fait tu sourit une dernière fois. Avant de produire une aura particulière. Elle aspirait quelques choses, toute la douleur. Absolument toute, celle des personnes éventrées encore en vie, celle entre la vie et la mort. Toute personne souffrante dans ce bâtiment ne ressentait plus aucune douleur. Il n'y avait aucun bruit sauf des soupirs de soulagement en sentant la douleur partir de leur corps. Mais tu ne t'inquiétas que d'un : Feitan tu vis petit à petit son visage de décrisper. Une fois fini tu enlevas ton aura qui s'introduit en toi. Tu ressentais la douleur de 100 personnes à la foi. Tu ne tenu pas par le choc. Et tu arrivas juste à murmurer à l'oreille de Feitan "Je t'aime mon nain".

Puis tu fermas les yeux pour trouver un repos éternel. Kuroro était arrivé sur les lieux. Machi avait était précipité auprès de Feitan pendant que les autres essayer de te faire revenir. En vaint... ce fut bizarrement le pire deuil qu'ils ai vécus... La dernière chose qui restait de toi était une lettre adressée à toute l'équipe les remerciant chacun de t'avoir permis de vivre à nouveau dans une famille. Mais elle contenait surtout les informations sur ton frère, Kurapika Kuruta. Il y avait une deuxième lettre, pour Feitan elle disait tout ce que tu avais sur le cœur. Malheureusement Feitan avait toujours refusé de l'ouvrir.

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