Bonjour la populace :D
J'ai décidé (sur un coup de tête) d'ouvrir ce recueil de "×reader". Parce que bon "crusher" sur des personnages fictifs se peut être dure.
Donc dans ce recueil pour quelques minutes j'espère pouvoir vous permettre de les rejo...
Bon, je fait une petite annonce ici. Je suis actuellement entrain de créer un nouveau projet ! Je risque donc de moin posté ici le temps que j'écrivent le nouveau projet. Il y a une heureuse élue (cœur sur toi si tu voix se message) qui connait presque tout du projet hehe :)
• Prochain : Reiner•
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- Alors pourquoi tu es avec moi ? - Bonne question, je me le demande tous les jours. - Si tu te poses la question pourquoi tu restes avec moi ? - Encore une fois bonne question, tu me fais juste perdre mon temps - Alors quitte-moi, si je te suis si inutile que ça. - Très, toi et moi c'est fini.
Tes yeux s'embrumèrent dû aux larmes qui commençaient à humidifier tes yeux (c/y). Les mots qui venaient de dire transpercé ton cœur de plein fouet, tu n'avais jamais ressenti une telle douleur. Tu étais avec lui sur le toit de l'école, les larmes dévalent tes joues alors que Hajime lui était choqué par ses propres paroles. - Je suis désolé (t /p)... - Je te déteste Iwaizumi Cela lui fit un électrochoc, tu ne l'avais jamais appelé Iwaizumi depuis des mois. Son nom dans ta bouche sonnait mal à ces oreilles. Ce qui venait de dire lui revenait en pleine gueule, comme un électrochoc. - Non (t/p) je ne voulais pas dire ça attend - Supportait tes excès de colère à cause d'Oikawa me dérange pas, supportait tes excès de violences certains moments me derange pas. Supportait ton humeur massacrante me dérange par mais là tu as dépassé les bornes. Tu te demandes pourquoi tu sors avec moi ? Pourquoi tu perds du temps pour moi ? Très bien je vais te soulager de ces questions. Tu peux tout de suite m'effacer de ta vie Iwaizumi.
Le bruits du métal qu'on frappait résonnaient dans tout l'immense gymnase. Dans les vestiaires on pouvait voir un homme débordant de rage. Les casiers faits de fine planches de métal étaient déformés, les bancs étaient par terre. Cet homme sentit deux bras l'attrapèrent le serrant fort contre une torse dure. Il se débattit de manière violente donnant coup de coupe et coup de poing. La rage lui bouffait les tripes, ça le rendait fou. - IWA ! Cette voix résonnait durement dans sa tête, d'un coup le calme le reprit. Et pour la première fois en une dizaine d'années. Oikawa vue Iwaizumi pleurer, il ne savait pas comment réagir face à ça. Comment pouvait-il le consolé alors qu'il savait même pas la cause de sa peine ? Il lui prit justes les épaules, le prenant dans ces bras comme deux frères le feraient. - Iwa qu'est ce qui se passe? - J'ai merdé, j'ai merdé avec (t/p). - Tu connais (t/p) elle a son caractère, et toi le tient. Elle finit toujours par te pardonner. - Non Oikawa. J'ai merdé, je l'ai quitté.
La réaction d'Oikawa fut immédiate, sa grande main de passeurs atterrit sur la joie de son champion et ami d'enfance. - Tu es vraiment con, on sèche l'entraînement tu vas tout m'expliquer. Ce n'est peut-être pas si désespéré que ça.
Il le savait pour que son ami pleure, la situation devait vraiment être désespérée. Il accompagnait son ami dans un petit café pas loin. Alors Hajime, lui apprit tout ce qui s'etait passer, il voyait l'énervement dans le regard de son ami. Il était tout aussi énervé contre lui-même, il venait probablement de perdre une des choses qui le rendu le plus heureux dans sa vie.
Tu lui avais apporté tant de bonheur. Il attendait les pouces tournant autour de son verre à peine entamer, il ne pas souhaiter boire tout était maussade à ce moment. Il le savait, si Oikawa disait que c'était irrécupérable alors ça le serait. - Sincèrement Iwa moi-même je ne sais pas. J'ai envie de dire que c'est (t/p) elle excuse tout le monde trop facilement, mais en même temps c'est (t/p) une fois que ta perdue te chance elle t'en redonne pas d'autre. Je ne peux pas t'aider là, et même si je le pouvais je ne le ferais pas. Ta merder comme jamais mon pote. Bonne chance.
Les jours étaient passés, Iwaizumi regardait tes yeux retrouvés leur couleur initiale. Enlevant les rougeurs qui étaient apparues dues au pleure. Les jours laissèrent place aux semaines, il vit alors ton sourire regagné ton magnifique visage. Le temps défilé bien trop lentement sans toi, il sentant le vide s'élargir dans son coeur. - Va lui parler. Ordonnait Oikawa à l'oreille du brun
Son pas peu assurait se dirigeait vers toi - (t/p) La voix qui avait résonnait dans le couloir te fit te tendre. Mais tu te retournas pas pour autant continuant ton chemin. Ton nom résonnait une deuxième, puis une troisième fois avant qu'une main atterrisse sur ton poignet le serrant assez fortement pour te maintenir, mais pas assez, pour que si tu le souhaites, tu puisse te dégageait de sa main en un mouvement. Ce qu'il avait prévu arrivé, tu dégages ton poignet de sa poigne d'un mouvement sec. - Voyons Iwaizumi je ne voudrais pas te faire perdre de temps Dis-tu en tournant lui tournant le dos, il reprit ton poignet. Mais cette fois si, ton poignet reste dans sa paume, mais ton autre main s'abattit violemment sur sa joue. La pression sur ton poignet disparu alors qu'il mit sa main sur sa joue choquée de ce qui venait d'arriver. Tu n'avais jamais fait preuve de violence, et encore moins de violence physique. Tout le lycée était choqué de ton acte, la douce (t/p) venait de gifler son ex. Tu repartis abandonnant ton ex, dans ce couloir où tous les regards étaient fixés sur lui. Il repartit attrapant son sac, se dirigeant à un endroit inconnu.
Les jours étaient passés, cet après-midi si la pluie battait son plein. Les bruits des nombreuses gouttes d'eau frappant les vitres étaient apaisants à tes yeux. On vous avait annoncé quelques minutes plutôt que les ateliers de l'après-midi étaient annulés pour être sur sur vous puissiez accéder à vos maisons avant toute inondation. Voilà comment tu te retrouvais à marcher, sans parapluie totalement trempé, grelottant de froid. Mais ton nom résonna dans la cour, faisant retourner plusieurs silhouettes qui se dépêchaient de rentrer. Tu put voir Iwaizumi, lui aussi trempé jusqu'au os. Il se tenait devant toi essoufflé du sprint qu'il venait de faire. Il était à 2 mètres de toi, te laissant une distance acceptable pour fuir si t'elle était ton souhait. - m'accordez-vous cette danse ? Il te tendit la main, tu te méfiais de lui. Lui au contraire placé tout c'est espoir en ce moment. Tu lui avais avoué que tu aimerais un jour danser sous une pluie battante dans un temps de tempête. Et comme si le destin l'avait entendu il offrait cette chance à Iwaizumi. Oikawa qui passait par la prit le sac de son ami, s'arrêtant ensuite près de toi - Je te prends ton sac . Il risque de te déranger pour danser. Tu fis glisser le sac de ton épaule, atterrissant directement dans les grandes paluches d'Oikawa.
Tu fis deux pas vers l'homme en face de toi, te retrouvant presque coller à lui. Sa main glissant dans la tienne, tandis que l'autre se dirigeait vers ta taille, comment encore plus les vêtements à ta peau. La chaleur de sa main dans la tienne était étrangement réconfortante, comme si ton corps était heureux de retrouver celui du champion. Vous commenciez à bouger, au rythme des gouttelettes d'eau atterrissant dans les flaques de leur congénère. Tout était extrêmement apaisant, le bruit, la petite brise chaude, la chaleur d'Hajime se répandent en toi. Tout cela te fit soupirer d'aise alors que ta tête fit la rencontre du cou du brun. Pendant 10 min vos danciez sous la pluie. Pour des vieilles personnes on aurait dit deux jeunes amoureux profitant de la vie devant eux, pour des adultes ils auraient pensé à un film d'Hollywood. Et les enfants seraient trop concentrés à sauter dans les flaques pour s'occuper des deux personnes dansent au milieu de la pluie. Mais pour vous c'était tout autre, il s'agissait juste d'une déclaration d'amour.
Hajime te prit dans ces bras coupant court à cette danse douce que vous expérimentiez quelques minutes plus tôt. Ressentir toute sa chaleur contre ton corps, te fit lui rendre la douce étreinte que tu lui accordais. Un soupire d'aise s'échappe de ces poumons, il t'avait enfin retrouvé.
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