anime × reader (Commande Fermé)

⁶²| Mikasa (× girl)

Hey petite chouette
Oui je sais j'avais dit que sa serait sakusa mais va y j'avais archi pas l'inspi :')

• Commande de : Chiya-san •
Merci de ta patience, j'ai essayé au mieux de respecter la scène donné !  J'espère que la tournure des choses ne te dérange pas ^^

• Prochain : Sakusa •

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- Il me veut quoi encore le Cappral nain ?
- Toi
- Quoi tu vas me frapper les genoux ?
Tu t'abaissas à son niveau, mettant ton visage à sa hauteur. Tu avais pour habitude de le narguer avec tes 15 cm de plus que lui. Alors qu'il allait toucher ton visage de son point rapide tu te remis sur toute ta hauteur, faisant que le caporal frappa le vide.
- Très bien (t/n) tu seras de douche pendant 1 semaine
- Si peut me permettre de pas voir votre gueule ça me va
- Petite garce
- Grande garce, et vous adorez ça, quelqu'un qui vous tienne tête se met du piment dans votre vie maussade. Je me demande si cela veut dire que vous êtes maso, et si vous êtes maso est ce que ça veut dire vous êtes soumis. Caporal vous êtes soumis ? Parce que si a l'intérieur de votre slip c'est aussi petit que l'extérieur vous allez pas pouvoir prendre grand monde.

Tout le bataillon te regarda l'oeil grand ouvert. Peu de personnes se permettaient de faire des réflexions sur la taille à leur Caporal mais alors là... tu avais dépassé les limites. Ils retiennent tous leur respiration, le caporal étrangement ne disait rien.
- corvée générale pour toi et toutes les 104 brigades, je vous laisse vous occuper de sa punition.
- Ducoup vous êtes soumis ?
Mais la seule réponse fut un claquement de porte. Ce bruit sourd avait déclenché un ébat de rire, tu te retournas pour voir tous tes amis se tenant le ventre tellement il rigolé, seul Armin, bertholt et Mikasa ne rigolait pas. Jean plaça sa grande main sur ton épaule essuyant une larme perlant sur son coin de l'oeil de l'autre.
- À merci (t/p) grâce à toi on loupe 1 semaine d'entrainement et en plus on a bien rigolé.

Si seulement on t'avait dit que tu ferais les douches seules... c'était selon toi le plus chiant à faire, tout nettoyer le matin pour repasser le soir comme si rien n'avait était fait. Ton côté flemmard en avait pris un coup. Mais alors que tu nettoyais un pommeau de douche celui-ci se mit à fuir. T'arrivant en pleine tête, tu essayais de stopper la fuite comme tu pouvais mais rien ne marchait. Des pas se firent entendre derrière toi, et tu espérais une chose ne pas trouver le caporal nain derrière toi. Tu te retournas doucement pour rencontrer les yeux froids de Mikasa - S'il te plaît Mikasa aide-moi je vais me faire tuer sinon !
Mais cette dernière demeurée juste rouge écarlate.
- Mikasa ça va ?
- Euh... ta... chemise

Tu baissas né regard sur ta chemise blanche, qui était rempli d'eau, comme toute ta tenue d'ailleurs.
- Oh merde... bon là où en est
Tu déboutonnes ta chemise bouton par bouton, Mikasa ne pouvait qu'admirer ta peau se dénude petit à petit, laissant d'abord apercevoir le haut de ta poitrine. Puis petit à petit ton soutien George tout simple, mais tellement attirant selon elle. Tu vis le regard de Mikasa fixé ton soutien George contenant ta petite poitrine.
- Mikasa ?
- Excuse moi, comment ton fait ?
- En nettoyant le pommeau.
- Bien va chercher des outils.
Tu partis chercher des outils, ne te souvenant plus vraiment que ta poitrine était recouverte d'un simple bout de tissu noir.
Mikasa t'appelait pour éviter que tout le monde te voit en cette tenue simplette. Mais tu n'entendis pas sa voix qui t'appelait, trop préoccupé à chercher les nombreux outils dispersés dans le grand château que faisait le QG.

Mikasa commençait à s'inquiéter, elle ne te voyait pas revenir. Elle décida alors de se balader dans les couloirs peu lumineux cause du soleil couchant. Elle vit cette scène qu'elle avait cauchemardé en te voyant partir, un soldat se tenait contre toi te bloquant les poignets. Son pantalon descendu alors qu'il essayait de baisser le tien tandis que tu essayais de te débattre. Dans ce couloir lourd en silence, on entendait juste tes sanglots de peur, on pouvait sentir le désespoir de recevoir de l'aide. Mikasa ne pouvait bouger, elle était comme une statue au visage choqué, voyant la pire des horreurs. Mais cette statue de plâtre reprit ses esprits en croisant ton regard terrifié. Elle bougea précipitamment, rentrant dans cet infâme homme qui s'écrasa au sol. Elle le frappa encore et encore, le sang coulait entre les pierres qui forment le sol. Le bruit interpella certaines personnes, le caporal sortit et voyait cette scène d'horreur. Toi blotti contre un mur en larmes, Mikasa tenant un homme en sang. Erwinn sortit aussi de son grand bureau au même moment où livaï fonça sur Mikasa pour l'arrêter. Le regard bleu du major se déposa sur ta silhouette tremblante, il s'approcha de toi posant sa main sur ton épaule frêle. Mais ta réaction fut immédiate et violente, tu te dégageas de la main puissante et te précipitas le plus loin possible. Il comprit ta réaction immédiatement

- Livaï lâche Mikasa, et amène l'autre soldat dans mon bureau. Il lâcha Mikasa qui se précipita vers toi te prenant dans ces fins bras musclés.
- Prends soin d'elle on s'occupe du soldat. Mikasa. Elle fit un mouvement de tête avant de prendre dans ces bras et de te basculer comme un nouveau-né pleurant. Mais ne l'était tu pas ? Comme une enfant découvrant le dur sens de la vie. Comprenant que l'homme est finalement la pire des créatures. Elle te prit dans ces bras te portant comme la plus fragile des choses, mais dans cet état ne l'était tu pas ? Elle te guida dans ces couloirs qui était ta hantise désormais, ta tête calmait contre son cou froid, alors que cette main glaciale agrippait tes côtes, l'autre agrippant tes cuisses musclées par les entrainements intensifs de votre caporal.

Elle t'emmenait du côté des chambres, mais entre deux sanglots tu lui demandas de d'abord passer par les douches, voulant effacer toute trace du passage de ses mains masculines. Après t'avoir dévêtu elle te glissa dans l'eau chaude. Tu frissonnas face à ce contact rassurant, elle prit délicatement tes bras et commença à les frotter avec un gant rempli de savon. Elle fit tout ton corps évitant les zones intimes qu'elle t'oblige à faire seule malgré ton esprit dans les nuages. Une fois totalement nettoyé tu te sentais bien mieux. Après les minutes de silence où elle restait assise à côté de la baignoire, évitant ton regard tu coupas ce silence
- Tu aimes Éren 
- Pourquoi cette question 
- Réponds
- Non
- Alors Jean ?
- Non plus.
- Tu aimes quelqu'un ?
- Oui
- Il le sait ?
- Elle ne le sait pas.
- Elle ?
- J'aime les filles (t/p).
- Oh tu aimes une fille ?
- ... Oui
- Qui ?
- Tu es parfois vraiment idiote, je n'aurais pas fait tout ça pour une femme que je n'aime pas.
- Alors
Avant que tout autre son ne sorte de ta bouche elle gravit la baignoire pour se joindre à toi. T'embrassant à pleine bouche, le baiser devenait petit à petit torride. Ses mains descendirent sur tes cuisses nues, les effleurant du bout de doigt, elle te sentit de crisper.
- Si tu n'es pas prête...
- Non efface toute trace de lui, s'il te plaît Alors elle continue là où elle était, remplaçant chaque "trace" que cet homme infecte avait fait par les siennes rendant à tes yeux ton corps bien plus joli.

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