⁶⁶| Tendou

1.6K 91 24
                                    

Heyy
Bon je sais j'avais dit Suna... Mais j'etait vraiment mal une nuit et j'ai écrit celui-ci. J'ai donné MA vision de Tendou et je vous demanderai de la respecter ! Je pense peut-être continuer à écrire des sujets "sensible" comme j'ai pu aborder dans cet OS. De plus je me suis pas permise d'écrire sur les tca comme ça. Je connais plusieur personne qui malheureusement en souffre et donc je suis plutôt bien renseigné sur le sujet voili voilou

• Prochain : Suna ou Iwaizumi •

_________________________________________

⚠️TW⚠️
Trouble du
Comportement
Alimentaire
(Tca)



- Je ne pense pas que tu sois un monstre, tu es certes un peu bizarre mais que serait l'exceptionnel sans un petit peu de bizarrerie ?

Il regardait ta silhouette s'éloigner, immobile telle une statue. Pourquoi son cœur se serrait comme ça ?  Pourquoi il voulait s'effondrer en larmes par terre ? Pourquoi ces émotions se bousculent dans sa tête ? Pourquoi il ne pouvait pas courir et te rattraper comme il voudrait le faire ? Pourquoi son ventre papillonné ? "Pourquoi" ce mot envahissait sa tête. Mais malgré tout cela il resta là, a fixé ta silhouette s'éloignant dans la palette orangée qu'offrait le ciel se soir d'automne.

Une main atterrit violemment dans son dos le fit sortir de sa trance, il se retourna pour voir le visage inquiet de Semi et Ushijima, alors il se rappela, il n'était plus seul.
- Tendou ça va ?
Il hocha la tête, fixant toujours le point où tu avais disparu derrière le muret d'une ruelle.
- Tu as croisé (t/p) aujourd'hui ?
- Oui
- On te retrouve toujours dans cet état après que tu l'es croisé tu deviens limite flippante. Souffle goshiki
- Ne lui dit pas ça. Intervient la voix grave du capitaine

Quelques jours étaient passers sans qu'il te croise, il cherchait toujours ta silhouette dans les coins des rues. Mais il le savait tu apparaissais que quand bon te semble, et étrangement toujours quand il en a besoin. Tu viens lui souffler quelque mot à l'oreille, ce mot est toujours bouleversant pour lui mais lui fait un bien fou. Comme un courant d'air dans un été caniculaire. Tu étais son rayon de lumière dans son monde obscur.

Ce soir la tu relevas le nez de ton téléphone, un pressentiment te prit aux tripes. Alors tu enfilas ta paire de chaussures avant de quitter ta petite demeure. Laissant tes pieds te guider à travers les rues que tu connaissais bien. Ton ombre bougeait en même temps que toi alors que les lampadaires éclairent ta silhouette. Les quelques chas vagabondent te regardait passé jusqu'à ce que tu disparaissent de leurs champs de vision. Tu accéléras le pas, plus tu t'approchais plus ton sentiment te prenait. Comme toutes ces fois où tu avais eu la nausée enfant, à ces moment-là il suffisait de vomir pour se sentir mieux mais là, il fallait que tu vérifies que tout allait bien.

Alors tu t'arrêtas face à cette petite maison sympathique et chaleureuse. Tu pus entendre de l'extérieur la sonnerie retentir et les pas arrivés vers toi. La porte s'ouvrit sur une grande femme fine, ces cheveux rouges rangés dans chignon mal fait.
- Oh bonsoir ma petite (t/p) tu es venu voir Satori ?
- Bonsoir madame, effectivement
- Monte-il est dans sa chambre.

Tu la remercias avant de te diriger dans sa chambre. Devant le pas de sa porte, ce sentiment te sauta aux tripes. Les bruits dès tes doigts contre la porte  résonnèrent dans le petit couloir
- Satori ?
Aucune réponse, alors dans la plus grands des angoisses tu ouvris la porte. Et comme tu le pensais tu y découvrir un carnage. Des papiers de different aliments jonchaient le parquet. Il avait dû faire une crise, et ton instinct t'avait encore une fois prévenu, tu ne remercierais jamais assez la personne qui t'avait appris à faire confiance en ce sentiment. Tu te concentras pour chercher la fine silhouette de Tendou mais il n'était pas là. Alors tu te tournas vers la salle de bain qui était accolé à ça chambre, en dessous de cette porte on put voir un rayon de lumière passer, et entendre de l'eau couler. Tes doigts taperent doucement la porte, résonnant dans un bruit sourd.

Je me jetai sur tout ce qui était mangeable dans ma chambre. Mettant à nouveau de la nourriture dans ma bouche sans avoir fini d'avaler. Mes yeux se remplissaient de larmes alors que je continuais à manger. Mais d'un coup ma faim se coupa, et je me rendis compte de tout ce que j'avais bien pu manger. Mes larmes montèrent encore plus à mes yeux, je me dirigèrent machinalement vers les toilettes. Et d'une manière ou d'une autre je me fis vomir, tout ce que j'avais ingurgité. Je me mis face au miroir, me rinçant la bouche, mais je fus forcé de tomber sur mon reflet. Face à mon visage j'entendis à nouveau c'est voix résonnait en moi.

"Monstre", "on ne veut pas jouer avec toi tu fais peur", " mange plus tu ressembles à une araignée", "tu es moche", "tu fais peur", "on dirait un squelette s'est dégoûtant"

Ma fine main attrapa mon reflet et le brisa contre le mur. Sans me souvenir comment j'étais dans la douche encore en pantalon. Mes larmes se mélangeaient avec l'eau de la douche. J'étais perdu dans mes pensées pleurant tel un enfant, mais je l'étais un peu non ? J'entendis la porte grinçait, puis la porte de la douche s'ouvrir. Et cette voix murmurait doucement mon nom avant de sentir cet chaleur m'englober.


La porte eut un grincement sinistre quand tu l'ouvris, comme pour te prévenir de ce qui t'attendait derrière elle. Tu put voir en premier lieu du sang par terre cela glaça le tien, puis tu pus voir le miroir brisé dans un coin. Ton regard devit lentement sur la douche où on pouvait voir malgré la buée la silhouette de Tendou dedans.

Tu t'avanças vers cette cabine, l'ouvrant doucement. Tendou était dedans sanglotant encore. Dans la plus grande des délicatesses tu le pris dans tes bras soufflant son nom. Son corps tressauta, et pendant quelques secondes il nut aucune réaction. Mais comme s'il venait de se rendre compte de qui il avait enface de lui, il remonta ces bras pour te serrer contre lui. Ce fût la chose de trop pour lui, ces larmes dévalèrent ces joues bien plus rapidement, ces sanglots furent bien plus bruyants. Tes yeux commencèrent à s'embrouiller eux aussi, mais tu ne pouvais le laisser entendre à ton ami. Tu n'en pouvais plus de le voir affichait se masque de bonheur alors qu'il allait profondément mal. Toujours marqué par ces années de primaire et collège. Mais tu ne pouvais montrer ta tristesse, cela l'affecterait encore plus, et tu ne voulais pas de ça. Alors tes larmes coulaient, rejoignant celle du rouge avant qu'elles fusionnent avec l'eau chaude qui dévalait sur vos corps. Vous aviez continué à pleuraient l'un contre l'autre 30 min. Avant que Tendou ne relève la tête vers toi, tes cheveux mouillés, ton visage trempé qui avait laissé ton mascara coulait. La chemise blanche que tu abordais elle aussi détrempé, laissant à Tendou apercevoir ton soutien-gorge noir. Vos regards se croisèrent, vous aviez tous deux sécher vos larmes. Dans un petit sourire tu lui demandais
- Tu va mieux ?
- Tes trempées.
- Pas plus que toi, Tendou vas-tu mieux ?
- Toujours quand tu es là. Comment tu as pu savoir ?
- Un jour tu m’as dit "fait confiance en ton instinct, voilà comme j'ai pu savoir.
- Est-ce que je suis toujours un monstre ?
- Tu ne la jamais serais, on devrait sortir de la douche non ?
Vous sortiez de cette cabine trop étroite pour vous deux. Vous vos sechiez à tour de rôle avant de retourner dans sa chambre

- Je peux te prendre un maillot ?
- Bien sûr, tu restes dormir ici ?
- Ba oui ta crue quoi ?

Une fois votre "pyjama" enfilé tu commenca à ramasser le bordel qui recouvrait encore le sol. Une fois tout cela propre tu te glissas dans son lit près de lui, il te sera doucement contre son torse. Il caressait ton dos délicatement comme si un mouvement brusque allez te faire disparaître.
- (t/p) ?
- Oui ?
- Merci de toujours avoir été là pour moi. C'est toi qui m’as fait rentrer à Shiratorizawa, grave à toi j'ai des amis maintenant. Pourquoi a tu décidé de me prendre sous ton aile ?
- Tu vois le jour ou (n/e) a dit qu'elle te détestait, et que tu lui as juste répondu "je sais qui aimerais un monstre" .
- Je m'en souviens parfaitement
- C'est à ce moment que je me suis dit que je devais être ton amie. Si le monde t'aime pas, alors le monde est mon ennemi.

Tu relevas la tête, vis deux visages était face à face, vous pouviez sentir le souffle de l'autre s'abattre sur vos visages. Il te regardait avec envie
- Fait le
- De quoi ?
- Tu le sais très bien Tendou
Sa main fine attrapa ta nuque et la rapprocha de son visage. Il eut quelques secondes d'hésitation que tu brisas en séparant le centimètre que te séparer de ces lèvres.
- Tu es ma première petite amie (t/p)
- Je le sais
- Je vais être nul
- On apprendra ensemble Tendou maintenant dort.

1444mots

anime × reader (Commande Fermé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant