anime × reader (Commande Fermé)

⁸⁹| Daichi

Petit cadeau de Noël pour UneFangirlDeTrucs !
Je vous souhaite à tous de joyeuses fêtes de fin d'années <33

_________________________________________

Le léger nuage s'envolait dans les airs alors que tu inspirais à nouveau l'air froid, frigorifiant tes poumons. Tes mains se frictionnaient entre elles, essayant de t'apporter un peu de chaleur. Malgré la doudoune entourant chaudement ton corps, froid se glissait partout où il le pouvait, te faisant trembloter. T'es les claquements de dents résonné à l'unisson avec la porte métallique qui s'ouvrit.

Les yeux du jeune homme s'agrandissent, choquer de ta présence sur les lieux, puis se remplir d'étoile fasse à ta silhouette. Les flocons de neige qui recouvrait ton cuir chevelu, laissant une légère empreinte humide lorsque que les flocons fondaient.

Un sourire se dessinait sur tes lèvres fasse a la carrure imposante qui arrivait à grands pas vers toi, t'emprisonnant chaudement dans ses bras. Tes claquements de dent se stoppèrent immédiatement. Non pas que le doux contact te réchauffait physiquement, mais ton cœur lui eu une vague de chaleur, apporter par l'amour que tu portais à Daichi. Ce dernier embrasse ton crâne humide, tout en se séparant de ton corps frigorifié. 

- Tu aurais dû m'attendre chez moi. Soufflait-il en constatant que tes lèvres prenaient une teinte bleutée? Il soupirait avant de glisser son bras contre tes épaules, te collant à son torse alors que le reste de l'équipe mettait les pieds dans le paysage enneigé. Ils sourirent tous à ta vue, contente de voir que pour une fois il n'avait pas à avoir peur de Daichi. Quand tu étais là, le jeune capitaine autoritaire, se transformer en véritable nounours. Ils te saluèrent tous un à un, avant de regagner rapidement leur maison craignant d'attraper froid. Tu finis rapidement par être seule, avec ton amoureux, et accompagné par Sugawara qui prenait ma même direction que vous. Le volleyeur prit ta main dans la sienne, couvrant l'autre d'un de ses gants bien trop grand pour tes mains qui paraissait bien petites comparaient au sienne.

Finalement, le chemin vers la petite demeure de Daichi fut dans le calme et les rires quand Sugawara et lui te racontèrent les nombreuses bêtises que pouvaiet inventé les nouveaux en seulement 2 h. Tu rigolais encore plus quand le sujet principal était Kageyama et Hinata, c'est deux la étaient tes chouchous. Et tu ne te le cachais jamais pour le dire, ou leur montrer en les couvrant de câlin sous les grognements de Daichi. D'ailleurs etonnament, les deux novices évitaient tes câlins, se plaignant qu'après Daichi était bien plus sévères avec eux. D'un signe de main commune, toi et Daichi, disait au revoir à Sugawara avant de rentrer dans la demeure agréablement chaude. Une petite touffe brune te sautait dessus en criant ton nom dans toute la maison.

- Saku, lâche (T/p) on est fatigué, on veut se reposer. Grondait gentiment son frère. Tu partis en portant la jeune fille dans tes bras, alors que tu saluais la mère et le père de Daichi qui était fourneaux. C'est deux derniers t'accueillirent avec joie, embrassant baveusement ta joue encore rougie par le froid. Ils finirent par eux aussi, imposer à la petite fille de sa détachée de ton cou et à Daichi de t'indiquer la direction

Tu pris ta douche la première, puis ce fut le tour de Daichi. Si vous étiez seul, vous auriez pris votre douche ensemble. Mais aujourd'hui il y avait trop de personnes pour faire cela. En réalité c'était plus toi qui serais gêné, que Daichi.

Ce dernier sortit de la salle de bain, rejoignant automatiquement la chambre où tu te trouvais regardant la télé. Tes joues rougirent rapidement, quand tu découvris la silhouette de Daichi avec seulement un caleçon. Ces cheveux humides retombant légèrement sur ses yeux, alors que quelque goutte couler le long de sa nuque suivant ses muscles saillants. Il te sourit avant de venir s'assoir au bord du lit, te tendant une serviette.

Tu pris le morceau de tissu doux, avant de commencer à doucement éponger ses cheveux enlevant l'excédent d'humidité. Une fois le plus gros absorbé par le carré de tissu, le volleyeur balança la serviette dans un coin de la salle. Il se glissait contre toi, te calant entre ses jambes alors que ton dos s'appuyer contre son torse nu. La seule chose séparant vos deux peaux était un vieux tee-shirt de Daichi, qui t'allait deux fois trop grand. Le souffle chaud de Daichi s'abattait dans ton cou, de plus en plus profond, de plus en plus lent. Tu compris rapidement que ton amoureux venait de s'endormir. Tu te tortillas éteignant les lumières avant de toi aussi rejoindre l'homme qui accompagnait ta vie depuis un petit moment dans le monde paradisiaque des rêves.

La seule chose te réveillant légèrement, étant la mère de Daichi qui venait vous prévenir que le repas était près. Mais vous voyant endormis dans les bras l'un de l'autre, elle repartis souriant jusqu'aux oreilles face au bonheur évident de son fils.

Le lendemain, ce fut la tornade de Saku qui vous réveilla tous les deux. Suivi par sa mère qui l'engueulait tout en sortant la petite fille de votre chambre. Tu grognais face à ce réveil brutal. Daichi Ricannait fasse à ta mauvaise humeur matinale. Il caressait tes cheveux (c/c), avant d'embrasser ton cuir chevelu. Tes yeux papillonnèrent avant de se refermer, somnolant à nouveau dans les bras chaleureux.

- Réveilles-toi petite tête.
Tu fus forcé d'ouvrir les yeux quand une odeur de pain grillé se fit sentir. Alors tes yeux s'ouvrirent en grand, te relevant immédiatement pour faire face à un plateau rempli de garnitures qui composerait ton petit déjeuner.

Tu te gavais de pain de mie parfaitement griller, tartiner de confiture, tout en regardant la neige tombée à gros flocons par la fenêtre. Tu souriais phase à ce temps digne d'un vrai Noël. Tu finis par retourner ton regard vers le meilleur cadeau que t'est fait la vie, Daichi. Ce dernier te fixait, le regard brillant de mille feux, son sourire s'agrandissent à la rencontre de tes pupilles. C'est même lèvres qui formèrent un simple mot qui t'emplirent de bonheur en un instant, un simple "je t'aime". Mot qui était courant entre vous, mais cette fois s'il ressonait particulièrement en toi. Tu lui souris, l'embrassant laissant un léger goût de fraise sur ses lèvres avant de lui rendre ce simple mot. Avec autant d'intensité que le sien. Le bonheur régnait entre vous deux, alors que vous passiez votre deuxième Noël ensemble, plus amoureux que jamais.