Chapitre quarante-neuf.

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Bon, les poulettes je me suis surpasser là !

J'ai écris 4426 fxcking de mots O.O (en fait, c'était comme si on était encore en période des vacances de Noël, vous savez ? Où je me suis taper un délire toute seule à écrire 878768786785 pages :o). Celle qu'est pas contente, je lui fou un coup de boule, ok ? (je plaisante, n'appelez pas les messieurs blancs d'accord....... ?) Brefouille ! Je sais pas ce qui m'est passé cette semaine, mais j'ai eu une bouffée d'inspi et puis.. Et puis, j'ai laissé parler mes doigts quoi #sors

J'espère que vous avez passé une bonne semaine ?
Bonne lecture !

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« Je veux tout savoir. »

Absolument tous. Bien que je sais pertinemment, que ça serait douloureux pour mon coeur de se retrouver face à Avery. J'ai eu le courage, voir l'audace de lui exiger qu'on se retrouve après nos travails respectifs, dans un café du centre commercial pour une franche conversation en face-à-face. Après tout ? Il me devait bien ça. C'était tout de même lui, qui s'est amusé à prétendre être celui qu'il n'est pas, pas l'inverse.

Comment ai-je pu me faire avoir comme ça ?

Comment ai-je pu être à ce point idiote ?

Après que nous nous sommes installés et commandés, je ne pus m'empêcher d'examiner chacun des traits angélique d'Avery. Je pensai le connaître - voir un minimum au moins ! - après tous ces mois à l'observer et l'admirer secrètement dans mon coin. J'y croyais même dur comme fer à cette image positive qu'il donnait de lui. Je connaissais les endroits qu'il fréquentait en solitaire ou avec ces amis les plus proches, ces habitudes, son emploi du temps et ainsi que les personnes avec qui il fraternisait le plus souvent.

'Et c'est Louis que tu traites de fou après ça.'

Me fit remarquer désespérément ma conscience. Je la chassai - voir essayer - dans un coin de ma tête, pour finir par batailler avec cette dernière sur laquelle de nous deux auraient raison. J'ai appris avec le temps que Louis n'était pas fou, non. Juste une personne avec une capacité de mémorisation impressionnante, qui n'a jamais été confrontée par ces émotions et auquel on n'a jamais refusé quoi que ce soit.

Par contre, en qui me concerne ?

Il est vrai que si je me re-mémorise toutes ces fois, où j'avais traqué Avery...

C'était moi qui passais pour une folle.

Pas Louis.

« Mais d'abord, promets-moi que tu me diras uniquement et strictement que la vérité. » Le devançai-je, lorsqu'il s'apprêta à commencer.

« Je te le promets. »

Wow, il avait rapidement répondu !

C'était trop facile...

Ma petite voix intérieure me poussait à ne pas lui faire à cent pour-cent confiance. Et avec ce que je venais d'apprendre ? Je ne pouvais qu'être d'accord avec elle. Je hochai positivement la tête, plongeai mes prunelles émeraude dans les siens. Avery imita mon geste, lorsque je saisis ma tasse de café pour la portée à mes lèves, buvant quelques gorgées, avant de laisser la chaleur irradier les paumes de mes mains.

« Te souviens-tu du jour où m'a donné ta lettre ? » Me questionna-t-il, hésitant.

« Oui. »

Tu parles que je m'en souviens !

C'est le jour où mon 'cauchemar' a débuté.

« Je t'ai vu. » Mon corps se fige face à cette annonce. « Je t'ai vu te diriger tout droit jusqu'à moi pour me tendre ta lettre. » QUOI ? « Mais, j'ai prétendu n'avoir rien vu et a continué mon chemin comme si ne rien était. » Il se pinça sa lèvre, baissant ces yeux, l'air coupable. « Comme je te l'ai dit, j-je n'ai pas le tem.. » C'est une blague, j'espère ?

It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Where stories live. Discover now