Chapitre quarante.

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Bonsoir, à tous et à toutes !
Comment allez-vous ?

Je sais, c'est assez bête comme question vu des derniers événements qui s'est passé ces derniers jours... Je ne vais pas faire de discours ou quoi que ce soit, je pense que ces personnes-là ont déjà assez fait parler d'eux. Et ils ne méritent pas ça, non. Ils méritent d'être ignoré, bousculé dans un coin perdu de la planète. Ou au pire, viré dans une autre. Comme on me l'a souvent dit et répété : l'ignorance est la meilleure des mépris.

Restez forte et n'oubliez pas... #NoussommesCharlie
Et pour toi : @alwayscommelamarque #Noussommesflics

Passez une bonne lecture ! Des bisous ♥

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Cette sensation était tout simplement insupportable.

L'expression de mon visage trahissait mes paroles. Ces frissons qui picorer agréablement ma peau, me rendait faible et impuissante. Cette chaleur qui consumer mon corps, enflammait mes zones les plus sensibles. Cette prestance que Louis arrivait toujours à mettre en valeur, me rendait à chaque fois mal à l'aise et surtout me donnait l'air d'une idiote.

Pourquoi ?

Décidément, je ne comprendrai jamais !

Mes pensées semblaient s'être perdues dans un coin de mon esprit, me laissant seule, avec ce calculateur doté d'une intelligence hors pair. Plusieurs de mes visions, ce sont embrouillaient, pour finir par s'entrechoquaient, donnant un résultat catastrophique de la nuit que j'ai passé au festival. C'était comme si, le réalisateur d'un film avait collé plusieurs scènes à la suite au hasard, laissant les spectateurs désemparés par ce qui suivra.

Aucun d'entre nous avait bougés de sa position. Après avoir fixé un bon moment le vide, la pulpe des doigts de Louis, pianotant au creux de mon cou me ramena à la réalité. Je tournai timidement ma tête sur le côté, rencontrant celle de mon interlocuteur, qui n'hésita pas à écraser le bout de son nez au mien. J'encrai mes iris verts droits dans les siennes, ne réagissant pas quand il pressa d'autant plus mon corps contre les tiroirs de la commode, lâchant faiblement dans un souffle.

« Tu mens. » Sa main encercla une partie de ma mâchoire. « T-tu.. » La mienne trouva refuge contre sa hanche, empoignant l'étoffe de son haut. « Tu n'oserais tout de même pas profiter de la faiblesse d'une femme.. » Je tirai désespérément sur le tissu. « Si ? » Le questionnai-je timidement dans une petite voix.

« Et pourquoi pas ? » Son timbre naturellement aigu vibra contre mes tympans. « Après tout ? » J'eus un hoquet de surprise en sentant sa main tiède entrer en contact avec ma peau. « Ce n'était pas comme si tu ne l'avais pas voulu non plus. » Ces phalanges caressèrent lentement la ligne qui constituait ma hanche, faisant instantanément frémir mon corps. « Tu m'avais supplié de te toucher de partout. » J'inspirai profondément, sentant mes pommettes s'enflammaient quand ils dévièrent à mon ventre. « De t'embrasser de partout. » Je le rentrai automatiquement, mordant l'intérieur de ma joue. « De te faire sauvagement l'amour. » Il usa d'un timbre de voix plus sensuel à cette phrase, lâchant l'emprise que sa seconde main avait contre ma mâchoire, pour venir empoigner une de mes fesses. « Je t'ai embrassé là. » Il retraça une ligne imaginaire à travers mon ventre. « Là.. » Je gigotai pour lui faire comprendre de ne pas remonter jusqu'à ma poitrine. « Là.. » Mais il m'ignora, frôlant son pouce contre la bordure de mon sous-vêtement. « Et.. » Ces lèvres frôlèrent lentement les miennes. « Là. »

« N-non, pas ça.. » Me soufflai-je à moi-même, perturbée par les spasmes qui circulaient à travers mon corps.

« Non, quoi ? » S'empressa-t-il de me demander, me poussant à me gifler virtuellement.

« B-bah.. J-je.. T-tu... » Bafouillai-je malgré moi.

Louis éclata de rire.

Pourquoi est-ce que cet imbécile ris ?

Mes cils papillonnent à plusieurs reprises, confus, par sa réaction. Louis avait laissé tomber son visage contre mon épaule, ainsi que ces bras d'une part et d'autre le long de son corps, qu'il encercle autour de ma taille. Il avait enfoui son minois contre l'étoffe de mon vêtement. Ces éclats de rire s'étaient amplifiés, quand il remarqua mon air confus. Sa gaieté résonna mélodieusement à travers la chambre, me faisant rapidement réaliser que..

Je venais de me faire avoir.

« Ce n'était pas vrai, n'est-ce pas ? » Il rit d'autant plus, redressant sa tête pour me faire face.

« Tu aurais dû voir ta tête ! » Je décidai de le taper à plusieurs reprises l'épaule.

Je n'arrive pas à croire que je l'ai laissé me toucher !

Il m'a bien eu.

'Et il a surtout bien profité.'

Me rappela immédiatement ma conscience.

Et j'étais sûr et certaine que mon visage devait être aussi rouge, que nouvelle teinture de Michael Clifford des 5 seconds of summer. Louis n'avait pas cessé de rire, poussant volontairement des petits cris enfantins à chaque fois que ma main claquait contre son bras, comme pour me signaler que mes tapes lui faisaient mal, alors qu'en réalité ils ne lui procuré aucun effet.

« Tu n'ai qu'un... »

« Encore un peu et tu tombais dans les pommes ! » Je décidai de le pousser hors de ma personne. « Qu'est-ce que tu fais ? » Se moqua-t-il, un sourire d'imbécile heureux scotché au coin de ces lèvres.

« Je ne veux plus te parler ! » Je lui tirai puérilement ma langue, le faisant d'autant plus rire.

« Rho, ne te fâche pas, ma beau.. »

Il fut interrompu par deux cognements contre la porte.

Nous pivotons nos têtes vers cette dernière, tombant sur Zayn à l'encadrement.

« Je dérange ? »

« Oui ! » S'exclama Louis en jetant ces mains en l'air.

« Non ! » Dis-je pour ma part.

« J-je.. » Il passa ces doigts contre sa chevelure noire corbeau, grimaçant. « C'est assez urgent. »

Louis soupira de mécontentement. Il se décolla de ma personne, m'assura qu'il sera rapidement de retour et qu'en attendant, je devrais ranger ces bouquins qui se trouver sur le tapis dans l'étagère par ordre croissant. J'acquiesçai d'un mouvement de la tête, sans lui promettre de vive-voix que j'allais réellement classer ces fichus livres.

Que lui voulait Zayn ?

Pour le savoir, je n'ai pas attendu plus d'une minute pour me précipiter jusqu'à la porte d'entrée. Je plaquai mon oreille contre, pour m'assurer que Louis et Zayn n'étaient pas proches de la chambre et qu'aucun autre étudiant ne se trouver dans le couloir pour tourner la poignée et sortir. À pas de loup, je me dirigeai jusqu'à la quatrième marche des escaliers, apercevant à travers les barreaux en bois une chevelure châtain et ébène : Zayn et Louis. J'observai mes alentours, trouvant sa bizarre que dans une maison de fraternité il n'y avait aucun br..

« Je t'ai niqué, Anderson ! » S'écria un des étudiants que je ne connaissais pas.

D'accord, je n'ai rien dit.

J'émis un sursaut de surprise, penchant ma tête sur le côté. Je remarquai que la plupart des confrères de Louis occupaient la pièce de séjour. Leurs attentions étaient tous sur l'écran plasma, aucune paire de yeux se trouver ailleurs, non. Ils étaient tous en train de jouer à un jeu de guerre sur la dernière console en vogue.

Les garçons !

It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Where stories live. Discover now