Chapitre quatre-vingt-treize.

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Coucou !

Vous allez bien ?

Bon je sais que je suis désespérante de ne pas être constamment régulière durant mes publications mais mille désolées j'ai de la famille qu squatte presque tous les jours ! En plus le 27 c'est l'anniversaire de mon frère donc je vous dis pas le bordel qui va avoir dimanche xD

J'arrête de blablater et vous laisse avec le chapitre !

Bonne lecture !

Info : N'oubliez pas qu'on reste sur le pdv de Louis !

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« L-Lou... »

« Laisse-toi faire. » Je glisse mes mains à sa taille, que j'empoigne pour la soulever du sol.

Je profite de sa perte d'équilibre, pour entourer ses jambes autour de moi. Bien décidée à se faire entendre, Adriana garde ses lèvres clos dans une ligne droite. Têtu, je refuse de la laisser s'exprimer. J'attrape le creux inférieur de sa lèvre entre mes dents et tire dessus à plusieurs reprises jusqu'à ce qu'elle cède.

Sans surprise,

Elle cède.

Je presse son dos contre l'encadrement de la porte, plaquant ma main droite au sommet de sa tête. La seconde se glisse sous son haut et maintien sa taille avec tellement de fermeté, que je ne me rends pas compte, que mes doigts creusent sa chair. Ce fut ces couinements et ces gesticulations qui m'ont alertés. 

Merde !

C'est pas ce que je voulais faire.

Je lâche la pression exercée et caresse du bout de mon pouce la zone empoignée pour calmer sa douleur. Je dénoue nos bouches pour embrasser sa tempe, frôlant au passage le bout de son nez, qui se retrousse à mon contact. Je profite de cette pause pour reprendre mon souffle. Nos yeux se rencontrent et se fixent durant de longues secondes.

« Repose-moi. » M'ordonne-t-elle calmement, je ne réponds pas.

Je m'en fou.

Elle restera comme ça jusqu'à ce que je décide du contraire.

Mes cils clignent, quand elle plaque sa main contre ma mâchoire. Adriana retrace du bout des doigts la courbe de mes lèvres, insistant ses ongles au creux, qu'elle s'amuse à entrouvrir à l'aide de son index.

Je suis étonné qu'elle n'insiste pas plus, c'est probablement la fatigue, qui l'a fait céder plus vite qu'à son habitude. Je me penche, prêt à de nouveau unir nos bouches, mais elle me rejette, collant son crâne contre le mur.

« Je pense que tu en as eu assez. » Je secoue négativement la tête.

« Tu crois ? » Mon sourcil se lève, amusé.

« Oui ! » Elle acquiesce, repoussant mon épaule.

J'incline derechef ma tête à sa hauteur, sauf que cette fois, elle ne bouge pas. Elle reste stoïque, attendant patiemment ma réaction. Réaction qui ne tarde pas, puisque j'eus le temps de parsemer sa mâchoire de petits baisers. Elle soupir faiblement, les lèvres pincés, pouffant, au contact de mon nez qui roule contre sa peau.

Adriana essaie de rester discrète, ne souhaitant pas réveiller les étudiants des autres chambres. Mais c'est peine perdu, puisque au moment, où je me suis mis à frotter mon nez contre sa nuque, elle pousse un cri. Elle plaque brusquement sa main contre sa bouche, pour camoufler ces ricanements, tapant gentiment mon épaule pour m'arrêter.

It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Where stories live. Discover now