Chapitre soixante-quatorze.

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Bonjour/Bonsoir !

Comment allez vous ?

J'espère que vous passer de bonne vacance !

Bon malheureusement pour nous, ZONE B, c'est la rentrée :'(

ALLEZ BON COOOOURAGE MES CHÉRI(E)S ON EST FOOOORT(E) ON EST DES GUERRIÈR(E°S !

Enfin bref, vous connaissez mon insomnie légendaire hein. J'arrive pas à fermer l'oeil de la nuit, du coup j'ai décidée de vous poster un chapitre hihi ! 


TRÈS IMPORTANT A LIRE IMPÉRATIVEMENT !!! => ÂME SENSIBLE SAVENT S'ABSTENIR - Ne lisez pas la dernière partie si vous êtes des fragiles. Celle qui m'engueuleront à la fin recevront un coup de boule, ok ?

Bah ouais quoi faut apprendre à lire les NDA mes chameaux en sucre ! 

Sur ceux, passez une bonne lecture :D

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La sonnerie qui annonce l'heure du repas vint de retentir une seconde fois. La plupart des étudiants ont déjà rassemblés leur affaire, prêt à partir, alors que d'autre - tel que moi - commencent tout juste à les ranger. Étant pris par la réunion des présidents de fraternité, Louis n'a pas pu assisté au cours de langue vivante. C'est peut-être bête de ma part de dire ça, mais je dois admettre que sa présence – bien qu'il soit souvent en train de dormir – me manque déjà.

'Ah, l'amour rend les gens tellement faible et pathétique !'

S'esclaffe la petite peste.

Je n'y peux rien.

Bien qu'il a les paupières la plupart du temps clos, je sais qu'il garde tout de même une oreille attentive sur tous ce qui se passe dans la salle. Avoir une mémoire visuelle et auditive, c'est tout de même la classe ! Et lorsqu'il a l'œil ouvert, il fixe mes notes, pour être sûr que je ne manque pas de prendre une information. Il n'hésite pas à taper son doigt contre ma feuille, quand je ne réalise pas que l'information est importante et à corriger mes fautes graves, lorsque j'oublie l'orthographe de certains mots.

'En somme, ton mec est un tyran quoi !'

Je ne t'aie pas sonnée toi !

Glissant mon trieur et ma trousse dans mon sac à main, j'enfile ma veste en jean. Je saisis mon sac et fonce droit vers la sortie. Je ne me dirige jusqu'à un raccourcit, qu'est un pont en ciment qui relie notre bâtiment économique à celle des étudiants qui étudient la médecine. À chaque fois que je prends ce raccourcit, je ne peux m'empêcher de repenser au jour du fameux quiproquo. Mes joues s'enflamment de honte, lorsque je me revois foncer la tête la première sur Louis, pour lui donner cette stupide lettre que Mindy m'a conseillée de rédiger pour Avery.

Je soupire longuement, pianotant vaguement mes doigts contre la rambarde en ciment. Je tourne au couloir de gauche, descendant les escaliers jusqu'au rez-de-chaussée. Au moins, ma connerie m'a permis d'apprendre – ou plutôt – de réapprendre à connaître Louis. Plus j'y pense, plus je me pose des questions. Que se serait-il passé si Avery ne m'avait pas volontairement ignoré ? Que se serait-il passé s'il aurait pris le temps de lire ma lettre ? De m'accorder une réponse correcte et non blessante, comme je le pensais – à l'époque – en bon gentleman ? Ou mais encore, aurait-il pu m'aimer... ?

Je me donne virtuellement une gifle.

Qu'est-ce que je raconte moi ?

'Si tu veux mon avis, chérie, certains questions devraient rester sans réponse.'

It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Where stories live. Discover now