Chapitre soixante-et-onze.

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BONJOOOOOOOOOOOOOOOUR !

CHA VAAAAAAAA

JE PUBLIE A 4H01 DU MAT OUAIS ET ALORS ? ET PUIS MOI PAS ALLEZ BIEN OK ?

LOUIS CE SASSY, SEXY, A LA VOIX QUI PROVOQUE DES ORGASMES, FDP ET BÉBÉ CHAT A 24 AUJOURD'HUI PTN DE SA RACE LES CROCODILES AU LAIT DE COCO ET AU MIEL EICNSDVNDVJSOVKSOVCKDV?DLV *pleure des bananas pilts*

NON MAIS SÉRIEUX

QUEL GARS DE 24 ANS DESSINE UN KNACKI SUR LA TRONCHE DE SON BF, HEIN ????? QUEL GARS DE 24 ANS FAIT CA VA FALLOIR M'EXPLIQUER PTN FSDVNSDFOPVODSV?DSVKDSVKDSVDLSVDSPVLDV

SINON HAPPY BIRTHDAY LOULOU

STAY SEXY 

JARTE BRIBRI LA GROSSE FOLLE DANS UNE AUTRE PLANÈTE

ET.......

Ok, ma gueule.

Passez une bonne lecture :) :) :)

__________________

« Tu boudes ? »  

Mordant l'intérieur de ma joue, je me penche pour rencontrer le regard de mon Italienne qui refuse catégoriquement de me faire face.  Sa lèvre inférieure est jeté distinctement en avant. Ses bras sont croisées contre sa poitrine, tandis que ses traits sont tirés en une moue boudeuse. À chaque fois que je tente de lui faire retrouver le sourire, elle me tourne le dos et accélère la cadence de ses petites jambes, pour me faire comprendre que ce n'est pas le moment de lui adresser la parole.

Ah, les femmes ! 

Ce qu'elles peuvent être susceptibles !

Elle compte réagir encore longtemps comme ça ?!

'En même temps, t'a un peu essayé de l'étouffer !'  

Me rappel ma conscience. 

Hummrf. 

« Sérieusement, Adriana ?! » Je jette mes mains en l'air. « Moi-même, je me retrouve avec un pantalon trempé par tes soins, est-ce que tu me vois bouder ? » Lançai-je pour la faire réagir.

Elle stoppe ses pas, se tourne à demi pour m'affronter. Et pour la première depuis la sortie du cinéma, nos yeux se rencontrent. Intérieurement, je souris bêtement, ravi d'avoir pu obtenir autre chose d'elle que de l'ignorance. On se scrute un instant, pensif. Hésitant, j'eus tout de même le courage d'émettre un pas pour pouvoir la retrouver, les sourcils d'Adriana se froncent. Elle me tire puérilement la langue et me gratifie d'un sourire malicieux. 

Ce fut à mon tour de froncer les sourcils. 

« Ad.. »  

« Attrape-moi, si tu peux ! » Elle me tire puérilement la langue.

« Qu-quoi ? »  

Sans perdre une seconde de plus, Adriana me tourne le dos.  Elle ne me laisse pas le temps de m'exprimer, de protester quoi que ce soit d'autre, non. Elle sprinte le long du trottoir, me laissant réaliser quelques secondes plus tard qu'elle ne plaisante pas. Stoïque, je la regarde partir, comme si mes jambes étaient cloués au sol. Mais avant qu'elle disparaisse au coin d'une rue, elle n'hésite pas à me hurler de nouveau : 

'Attrape-moi !'

C'est tardivement, que je décide de sprinter à mon tour.

Ce dont elle ne semble plus ce souvenir, c'est que c'est moi qui l'a emmené au centre-ville, voir dans cette ville tout court. Ce n'est pas ma première visite, j'y venais souvent lors des périodes de repos de mes parents. Sachant qu'Adriana s'est dirigée droit devant elle, soit vers un parc et un quartier de commerçant. J'entrepris de couper par la rue qui mène vers la boutique de parfumerie qu'on a visité plus tôt dans la journée, afin d'atterrir à l'entrée du parc. 

It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Wo Geschichten leben. Entdecke jetzt