Chapitre soixante-quinze.

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Bonjour, bonsoir et surtout bonne année 2017 à tous et à toutes !

Ayez la santé et de bonnes résolutions pour débuter l'année, je pense que c'est le plus important !

Wow, ça fait vraiment longtemps.

Beaucoup trop même, comme plusieurs personnes me l'ont fait remarquer dans vos commentaires...

Je n'aie aucune excuse, vous pouvez m'insulter, me boycotter, je le comprends parfaitement.

Pour être honnête, je ne sais pas ce qui s'est passé. Plusieurs péripéties ont fait que j'ai sans vraiment me rendre compte péter un câble. Des problèmes ? Oh oui, j'en ai eu. Que ce soit au niveau de l'école, de la famille - oui, surtout - de famille ou autres. Je n'essaie pas de me chercher d'excuses, parce que oui, quand on veut, on trouve toujours un créneau pour venir laisser un petit message. Je pense que j'avais juste envie de disparaître, loin de la plateforme internet, pendant x temps. Au moins, juste le temps que ma vie de se ré-organise, parce que je peux vous assurer que depuis que j'ai déménagée ma vie a été un véritable bordel. Maintenant ? Disons qu'elle est moins bordélique et que progressivement, je reviens pour au moins finir mes fictions. (Pour celle qui m'ont sur snap et twitter, vous avez certainement dû remarquer que je me connectais de moins en moins souvent également.)

Ça doit faire au moins deux ans que je n'aie pas écris pour le plaisir et je dois admettre que putain ! Ça fait un bien fou. Et vous pouvez me croire, que absolument toutes les émotions sont passées au moment même où j'ai tapée mes premières lignes.

Excusez-moi pour tous. Je vous remercie d'avoir gardé mon histoire dans votre bibliothèque, de me soutenir et surtout de m'avoir attendue. J'espère sincèrement que vous prendrez toujours plaisir à la lire. (ou à les lire).

Bonne lecture !

Ps : Ce message se retrouvera à chaque début de chapitre. (Je suis en train d'écrire les chapitres des autres histoires, que je publierai une fois fini).

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Louis Tomlinson

14h37.

Assis autour d'une table ronde d'un café au côté de Zayn, je lève mon bras droit, puis soulève la manche de ma chemise pour y dévoiler ma montre. J'observe l'heure indiqué et mes sourcils se froncent instantanément : quatorze heures trente-sept. Je déteste quand les personnes avec qui j'ai rendez-vous sont en retard, tout comme je déteste être moi-même en retard. Je lâche un soupir, agacé, que mes parents puissent être en retard, alors qu'ils sont ceux qui ont proposés - ou plutôt - imposés, en fait, l'endroit et l'heure du rendez-vous. Je pose mes coudes sur la table, jouant distraitement avec les coins de ma serviette.

Ils avaient exactement vingt minutes de retard.

« Cette 'mise au point' a intérêt à être rapide. » Je marmonne sous ma barbe, jetant un rapide coup d'oeil à mon interlocuteur.

« Ils ne vont pas tarder. » Me rassure, Zayn. « Ils savent que tu as entraînement et ce que le football représente pour toi. » Je le fixe longuement, acquiesçant silencieusement d'un mouvement du visage.

Oui, effectivement.

Ils savent ce que le football représente pour moi.


Dix ans plus tôt.

Les mains enfouis dans les poches de mon pantalon, j'accours jusqu'à la balle que j'ai placé sur une croix blanche que j'ai marqué à la craie, pour y donner un coup de pied. Mon tir est puissant, mais pas assez précis, puisqu'il frôle la cible que j'ai dessiné distinctement au mur. Je pousse un râle de mécontentement et me laisse tomber sur le goudron, transpirant et essouflé. C'était la trente-et-unième fois que j'essaye. Allongé en étoile au sol, je fixe longuement le ciel bleu. Pensif, je repense à la fois, où j'ai volontairement oublié ma dose d'insuline.

It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant