Chapitre quatre-vingt-un. (Première partie)

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Bonsoir tous le monde !

Comment allez-vous ?

Vous avez passer une bonne semaine ?

Bon, je crois que j'ai un tout petit peu de retard ! Entre mettre à jour ma fic sur Luke (où je suis encore plus en retard) + bouclé ma fiction sur Michael (où j'ai écris plus de 10 000 mots), il faut dire que j'ai eu les yeux explosés ^^'

Donc ne m'en voulez pas, même si je suis irrégulière dans mes postes, je me suis engagée de finir coûte que coûte mes histoires !

Sur ceux, je vous souhaite une bonne lecture, mes chameaux au marshmallow

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Louis Tomlinson

Je lève ma tête au même moment, où une goutte de pluie tombe sur mon front. J'essuie cette dernière, ne réagissant pas d'un poil, en sentant d'autres gouttes suivre son exemple. Je me redresse maladroitement en tailleur, essayant du mieux que je peux d'éviter de toucher mon nez. Malgré que la douleur soit minime, ça fait quand même toujours mal, de sentir une balle en cuir te percuter le visage.

« Louis !? » S'écrie Adriana en m'agrippant par le bras. « Dépêche-toi de te lever, tu vas finir par être trempé. »

Ses doigts se nouaient aux miens, une fois sur que je suis sur pied. Mes cils papillotent dû au contact des gouttes de pluies, qui se déversent de plus en plus fort et rapidement. Adriana me tire à l'extérieur du terrain, afin de nous abriter sous un préau à proximité du terrain. Me rappelant que j'ai laissé mon journal médical ouvert et exposé à l'extérieur de mon sac, mes iris azurés se dirigeaient au banc.

Un soupir de soulagement s'extirpe d'entre mes lèvres, en voyant qu'il est couvert par un toit en acier et en plastique. Enfouissant mes doigts dans mes cheveux mouillés, je les secoue et les rejette en arrière. Je me tourne pour faire face à Adriana, qui s'est adossée contre le mur, les mains liés derrière son dos. Sa respiration est légèrement modifié - tout comme la mienne - et son visage est rose dû à l'effort. 

'Ou à l'embarras.'

Me souffle ma conscience.

Roh, c'est bon !

Ce n'est pas comme si c'était interdit de voir la culotte de sa petite-amie !

Me justifiais-je.

Et puis c'était un accident !

- à l'écoute - Kennedi - Last cigarette.

Je secoue la tête, chassant mes pensées salaces dans un coin de mon esprit. Je dirige mes pas jusqu'à mon italienne, qui n'a pas bougé de son emplacement. Une fois près d'elle, je constate que l'averse a trempé, juste assez son haut pour le rendre quasi-transparent, au point que je puisse percevoir son soutient-gorge à travers. Pour une raison que j'ignore, ce fut la première chose qui m'a attiré.

Putain !

Mais pourquoi je fais ça ?

Mon visage s'empourpre de honte et s'oriente aussitôt à la direction opposé, afin de ne pas croiser son regard. Je masse mes tempes, inspirant longuement, puis expirant. Je me fige lorsque ses doigts entrent en contact avec mes joues, qu'elle pivote, pour me forcer à la confronter. Et après avoir lutté deux, à trois fois, je m'exécute, rencontrant ces prunelles verdâtres, qui se mettent à intensément me fixer.

Je ne sais pas si c'est dû au vide que j'ai ressenti durant ce court délai où nous étions séparés, ou bien le fait que je ne suis pas habitué à ne pas l'avoir à proximité depuis que nous sortons ensembles, mais il fallait que je le comble. Peu importe le moyen que j'utiliserai, je le sais, je le sens, j'en ai même la conviction, que j'aurais le dernier mot. Adriana doit probablement ressentir la même chose, car si ce n'était pas le cas, elle m'aurait depuis longtemps repoussé.

It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Where stories live. Discover now