Chapitre soixante-seize.

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Bonsoir à tous et à toutes !

J'espère que vous allez bien et que vous avez passés une bonne semaine + un bon week-end ?

Comme promis, j'essaie de nouveau d'être régulière au niveau de MAJ des fictions ! (enfin quand je n'aie pas de partiel de prévue). Je vous remercie de continuer d'être active malgré ma looooooongue absence, vous êtes vraiment trop des amours j'ai l'impression de pas vous méritez :'( ♥

J'arrête de vous embêter avec mon blablabla et vous laisse avec le chapitre,

Passez une bonne lecture !

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Adriana Rocchietti

6h43.

Booooom !

Je sursaute, poussant un gémissement de mécontentement. Bon sang ! C'est la deuxième fois de la matinée qu'on me dérange dans mon sommeil ! Sauf qu'au lieu de me questionner sur ce qui pourrait bien se passer, j'ai choisi de me rendormir.

Du moins, j'essaie.

Booooom !

Je grogne, grincheuse maintenant, cachant mon visage sous l'oreiller.

Oh, mais c'est pas vrai !

« L-Loui... » Je me tut, réalisant qu'il ne peut pas s'agir de lui, puisqu'il est censé être parti.

Booooom !

Je sors ma tête de l'oreiller et la relève légèrement pour jeter un oeil au réveil électrique, qui donnait exactement l'heure de six heures quarante-trois du matin.

« Sérieusement ?! » Une grimace anime aussitôt mes traits faciaux et sans attendre, je ronchonne. « Ces garçons vont me tuer un jour ! »

Ça ne fait même pas un quart d'heure que Louis est parti et voilà que ces garçons en profitent pour faire n'importe quoi !

Booooom !

N'arrivant plus à fermer l'oeil, je décide de me lever - et avec beaucoup de difficulté surtout - du lit. Instinctivement, je m'enveloppe dans un plaid, frottant mes bras pour que la chaleur se répande. Je me dirige jusqu'à la cage d'escalier, couvrant ma bouche quand je me sens bâiller. Je m'étire rapidement mes épaules et mon cou et lorsque je m'apprête à frotter mes paupières, je trébuche sur ce qui paraît être une paire de jambes et tombe sur le ventre sur le plancher.

« Putain ! »

Une voix familière hurle au même moment que moi. J'entreprends de pivoter ma tête dans tous les sens, sauf que je ne vois pas grand chose. Le soleil n'est pas encore levé et tel une idiote, j'ai oubliée d'appuyer sur l'interrupteur. Je décide d'opter pour l'option, qui est pour moi la plus évidente : tâter ce qu'il y a autour de moi. Mes doigts finissent par tomber sur des boucles, que je me mets à tirer.

« Aie, mais putain ! C'est quoi ce bordel ?! »

Désolée, l'ami...

Mais c'est le seul moyen que j'ai trouvée pour te faire de nouveau parler.

Une grimace se forme à mon visage, quand l'odeur d'alcool du jeune homme vienne asphyxier mes poumons. Je lâche ses cheveux et agite ma main dans tous les sens pour chasser l'odeur répugnante de rhum. Je recule de plusieurs mètres et pince mon nez, préférant respirer par la bouche, qu'inspirer une seconde de plus l'horrible odeur de rhum. Maintenant que mon esprit n'est plus distrait par l'arôme, je me re-concentre sur la voix familière, qui me rappelle étrangement celui de...

It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Where stories live. Discover now