Chapitre soixante-dix-sept.

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Bonjour, bonsoir et bonne année à toutes et à tous ! (Cette année c'est l'année du coq je crois xD); étant asiatique vous vous doutez maintenant que j'ai été assez occupée ce week-end haha :p

Vous allez bien ?

Vous avez passés une bonne semaine ?

En tout cas, je dois vous avouez que j'ai dû prendre au moins 6kg en plus du nouvel an français que j'ai fêté avec des potes, donc ça va être hyper hard de faire fondre toutes cette graisse xD

Ps : Nan, j'ai pas beaucoup bu vous inquiétez pas !

Passez une bonne lecture !

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Je ne vais pas me laisser abattre pour quelques paroles.

Alors là, NON !

Et certainement pas après avoir réussie à surmonter le caractère capricieux et autoritaire de Louis.

Je dois tout de même reconnaître, que supporter sa personnalité m'a aidée psychologiquement. Il m'a endurcie, m'a poussée à être moins dans les nuages et plus à l'écoute de l'autrui. Il m'a également permise de découvrir que, plus une personne est désagréable envers toi - alors que d'habitude ce n'est pas le cas – plus cela se traduit en un appel 'à l'aide'.

Et en ce qui concerne Harry ?

Son regard criait clairement à l'aide.

« Tu sais que si mon colloc te voit squatter ici, il va péter un câble. » M'informe Tyler, tel un véritable rabat-joie.

« Et bien, tu lui diras que je n'aie nulle part où aller, puisqu'une connasse - au charmant nom d'Astrid - a changée les serrures de MON propre dortoir ! »  

Je roule intérieurement des yeux. Le souvenir de cette satanée Astrid, effectuant les yeux doux à Gwen pour changer les serrures de notre dortoir, par peur que je ne perde les clés et qu'un garçon de la fraternité de Louis ne les récupère et vient 'sexuellement les agresser' me met hors de moi.

Non, mais sérieusement !?

Elle en a d'autres des idées tordues comme ça ?

« Dortoir où tu ne dors plus. » Me fit-il rappeler et par la même occasion fermer mon clapet. « Pourquoi tu ne vas pas dormir à la fraternité de ton Prince, mh ? »

J'agite vivement ma tête de gauche à droite, me cachant instantanément sous la couette. Même si j'essaie de me donner mentalement des coups de pieds aux fesses, pour m'encourager à refaire face à Harry, mon corps, lui ? Le refuse. Je sais que je ne devrais pas me lasser abattre, que j'ai connue des mots d'autant plus durs, tel que ceux de mon propre petit-ami, par exemple, mais...

Je reste tout de même sensible sur certains points, en particulier, lorsque cela touche ma relation avec Louis.

'Tu es une chienne ! Tu es une chienne ! Tu es une chienne !'

Cette phrase n'a pas cessé de résonner dans ma tête. Je clos fortement mes paupières, espérant intérieurement faire disparaître magiquement les mots d'Harry, mais en vain. Je soupire longuement, ressortant mon visage de la couette, avant de mourir bêtement étouffé par ma propre chaleur.

Arrgh, bon sang !

Les garçons n'ont-ils donc aucun cœur ?

Je suis un être humain, pas un punching-ball !

« Ta peur de te faire violer ? » Ricane bêtement mon meilleur ami.

« C'est vraiment trop drôle ha-ha-ha ! » Je grogne, en lui lançant un oreiller qu'il rattrape.

It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Where stories live. Discover now