It's pure, it's you. (s l o w u p d a t e)

Chapitre huit. (Première partie.)

Hello, guys ! Comment allez-vous ?

Et oui, c'est ici que les vacances s'achèvent pour la Zone B #pleure
J'en profite que mon internet ne rame pas (pour l'instant) pour poster un nouveau chapitre. J'espère qu'il vous plaira, ainsi que les choix musicaux choisis ;)

Ps : Je tiens aussi à vous signaler que dorénavant les chapitres arriveront d'ici deux à trois semaines, le bac approche à grand pas et je dois malheureusement réviser huhu. #pleurex2
Mais vous en faite pas je suis toujours présente pour vous lire et répondre à vos commentaire !

N'hésitez pas à me donner vos avis ça me ferait énormément plaisir !
Je vous aimes, xx.

_____________________

Louis Tomlinson.

Et la lettre précédemment tendue flotta quelques laps de secondes dans les airs, avant de finalement s'écraser tel une plume au sol.

Une brise mâtinale menaça de la faire virevolter une nouvelle fois, j'entrepris donc d'émettre un pas en avant, écrasant ainsi une partie de l'enveloppe pour la maintenir fermement au sol.

Alors que mes pupulles azurés restèrent captivés par l'horizon, contemplant au loin la silhouette féminine fuyante et rougissante de honte. Une voix familière m'interpella singulièrement. 

« Louis ? »

Je ne lui adressa même pas un regard, contemplant les boucles couleur de blé de la jeune femme virevolter dans les airs en cascade à ses épaules, mon fidèle sourire dédaigneux ne tardant pas à gagner mes lèvres. C'est instinctivement que je m'accroupis pour ramasser délicatement l'enveloppe au sol.

Machinalement, je tourna la lettre sur elle-même pour connaître le destinataire : Avery Jones.

« Lou.. »

« Appelle-moi encore une nouvelle fois et tu peux être sur que mon père aura de tes nouvelles dès les prochaines minutes. » Le coupais-je brusquement dans son élan en roulant des yeux.

Je pivota sur moi-même pour faire volte-face à mon garde du corps. Je plaqua l'enveloppe contre sa poitrine, l'indiquant du regard de le ranger dans mon sac à dos ou peu importe où il trouvera de la place, avant de le gratifier de deux petites tapes amicales contre son épaule.

Sans un seul mot de plus je reviens tantôt sur mes pas, poursuivant mon chemin jusqu'à mon secteur économique.  

Les vibrations de mon cellulaire me tira de mes pensées.

Qui cela pouvait-il être ?

Je glissa promptement ma large main à la poche arrière de mon jean, extirpant automatiquement mon cellulaire. L'entièreté de mon corps fut dorénavant confortablement adossé contre l'une des fameuses poutres, qui reliaient les deux bâtiments des deux secteurs économique et scientifique bien distinct par un pont.

Je décrocha sans même regarder le nom de la personne qui se trouvait au bout du fil. 

« Qui que ça peut être ça a intérêt à être important. » Crachai-je d'un ton las en jetant un bref regard à mon garde du corps.

« Lou.. Louis ? » Il me semblait déjà avoir entendu ce timbre de voix. « C'est Lance ! » Ah, oui. Un bizu admit l'an passé.