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« Ce qui est passé est mort on peut pas changer l'histoire »————

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« Ce qui est passé est mort on peut pas changer l'histoire »
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Kingston, Jamaïque, 9h56

Ôtant les bras de ma brune qu'elle avait ceinturé autour de ma taille, je me dirigeais vers le fond de ma piaule là où mon grand miroir était placé et où j'avais balance mon calbar de la veille par terre. Je l'enfilais rapidos et grimaçait dans ma barbe en constatant qu'il compressait encore mon sexe qui n'avait toujours pas redescendu de température depuis cette nuit. Les gars étaient sortis faire la fête en ville et j'étais resté à la son-mai avec Lula qui me tenait compagnie. Notre programme était parti sur une simple soirée à observer la Lune et écouter de la musique qui résonnerait dans toute les pièces de la maison sauf qu'on savait pas su rester sérieux et tout était tombé à l'eau. Ça avait commencé dans la salle de bain lorsque je l'avais rejoins sous la douche et que notre simple partie de douche s'était terminé en séance de préliminaires improvisée, on avait ensuite fini sous les draps de mon lit pour unir nos deux corps sous la lumière bleutée de la pièce. J'espérais que les voisins n'allaient pas nous détester vu le boucan qu'on avait causé ma latina et moi. Cette nuit là me montrait encore que je développais chaque jours de plus des sentiments plus fort envers elle, que notre relation n'était pas juste une histoire de cul et que j'avais peut-être envie de viser plus loin avec elle.

Ramassant mes vêtements d'hier que je comptais aller déposer dans la salle de bain, mon souffle s'arrêtait en tombant sur une petite culotte fine en dentelle de couleur bordeaux, appartenant à ma petite latina. Y'avait pas à dire son tanga lui faisait un boule de malade mais je le préférais bien mieux nu, c'était le plus beau de tous, y'avait pas à rivaliser. Pour éviter de faire des allers-retours inutilement je prenais aussi mes deux capotes maintenant inutilisables que je balançais directement à la poubelle de la salle d'eau. J'avais déjà mal au bassin et à mon dos que je pourrais pas vraiment utiliser pour la journée, j'avais donc à me ménager pour aujourd'hui. Longtemps que j'avais pas autant pris mon pied comme cette noche là, je crois que j'avais trop donné de ma personne et mon corps avait besoin de se remettre du sport que je lui avais fait subir. Si c'était à refaire je le referais sans aucun regrets parce que je kiffais être entre ses cuisses avec ses mains douces qui caressaient mes veuch et ses baisers humides qui m'rendait ouf, et je vous parlais même pas de sa langua qu'elle déposait timidement sur mes lèvres et qui pouvait m'envoyer en deux sec sur Namek. Elle était tellement crevé depuis quatre heures du sbah que je savais d'avance qu'elle allait se réveiller dans l'après-midi. Son corps avait pris tellement cher, je m'en faisais pas pour ses traces de crocs au cul mais c'était surtout pour ses suçons que je m'inquiétais. Je savais même pas comment elle allait faire pour cacher ses suçons. J'aurais pu me contenter simplement de son cou mais mon envie plus forte de la bouffer m'avait obligé à lui en faire un en bas de son ventre puis un autre dans le creux de sa hanche droite. Ouvrant la fenêtre de ma piaule à cause de la chaleur étouffante de dehors, je profitais d'être de bonne humeur pour ranger quelques affaires à moi qui trainaient sur le sol.  J'avais malheureusement fait l'erreur de poser mes yeux sur ma brune qui pionçait sur le ventre, la tête enfoui sur son oreiller. Recouvrant son dos dénudé par un drap synthétique, je pouvais pas m'empêcher de baver sur son cul nu tout fraîchement rougi par une trace de croc et de mes oid qui le maintenant fermement des heures plus tôt. Malgré que j'étais à cran j'avais encore cette putain d'envie de la sentir contre moi, de me caler deux-trois bonnes heures de répit et de pouvoir lui offrir toute l'attention que j'avais à lui donner. Je voulais que l'on remette ça maintenant afin que je puisse la soulever sous l'eau bouillante de ma douche, lui dévorer ses lèvres et lui donner autant de plaisir que je pouvais lui en donner avant d'aller carburer sur le tournage du clip que je tournais avec mon reuf.

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