Cette oeuvre n'est pas un livre en tant que tel. Je la décrirais plutôt comme un genre de journal de bord dans lequel je retrace mon parcours équestres dans les grandes lignes afin de faire un peu mieux connaissance. Ensuite, je donnerai également...
Petite partie mais bien utile dans les mauvaises passes. Alors comme dit dans le titre ce chapitre sera sur l'importance de ne jamais baisser les bras.
Il y a des hauts et des bas dans la vie suite à ses aléas mais il ne faut jamais perdre espoir car celui-ci fait vivre.
Comme a dit Antoine de Saint Exupéry: "Fais de ta vie un rêve et de tes rêves une réalité.". Je sais bien que cette phrase peut être compliquée à appliquer par moment mais gardez la toujours dans un coin de votre esprit. Elle pourra toujours servir.
Si j'ai voulu écrire ce chapitre, c'est pour une raison assez bizarre. Il m'est déjà arrivé plusieurs fois de perdre espoir en ce qui concerne la société mais jamais le sport. Mon mental est en baisse pour le moment donc mon physique qui n'était déjà pas au beau fixe depuis quelques temps diminue aussi. C'est pour cette raison que je me suis mise à écrire ce chapitre à 1h du mat'.
L'importance de l'espoir, selon certaines personnes: - Certains vous diront: " L'espoir fait vivre". - D'autres diront: " Sans rêve ou espoir, il n'y a rien d'intéressant dans le monde". - Selon d'autres personnes: " L'espoir est important car il donne du sens à la vie". - Certains trouvent: " L'espoir va de paire avec la confiance".
Bien entendu, chacun a sa propre définition de l'espoir. En effet, nous n'avons pas tous le même vécu.
J'ai perdu espoir souvent. Notamment lorsque des professeurs me cassaient avec leurs phrases. Pour combler ma démoralisation, je me suis souvent tournée sur le sport et, surtout, l'équitation.
Le sport en général me faisait tenir même si mon physique déclinait car le mental et la rage de prouver étaient toujours là. Mais, si tout nous abandonne, comment sommes-nous censés continuer?
C'est cette question que je vous pose.
Personnellement, la seule réponse que j'ai, c'est qu'il faut s'accrocher car il y a des personnes qui nous aiment sur cette terre.
L'équitation m'a aidé à remonter la pente plus souvent que je ne l'aurais cru mais parfois elle m'a aussi fait tomber dans un précipice.
Vous voyez ces fois où après avoir fourni tant d'efforts vous espérez qu'ils payent et que rien a faire, vous finissez encore la tête dans le sable ou avec des refus et des scores lourds en concours?
Les premiers échecs sont durs à avaler mais, ils font partie de la vie et sont là pour nous forger un caractère. Des fois on s'en passerait bien.
Comment voulez vous garder espoir et faire de vos rêves une réalité si des personnes vous considèrent comme un moins que rien? Comment faire devenir un rêve une réalité?
Je pensais être arrivée à faire de mes rêves une réalité mais je me suis bien vite rendue compte que la réalité était bien plus rude qu'un rêve. Il y a toujours des imprévus qui vous font vous remettre en question, douter de vos capacités et de vos choix. Parfois c'est bien parfois pas.
Je vais prendre un bête exemple. Mon rêve c'est devenir cavalière pro. Est-ce que je vais pouvoir le réaliser? Non! Pourquoi? Même si je m'en donne les moyens, ce sera impossible car je ne percerai jamais. Je n'ai pas les revenus suffisants pour acheter le cheval qui me fera monter au plus haut pour me faire remarquer. Une chance, je peux encore compter un peu sur de la valorisation des jeunes même si, avec ma chute, j'ai perdu deux contrats. En me rendant compte qu'il ne pourrait jamais devenir réalité, j'ai espéré pouvoir faire vétérinaire. Au début, je m'en sentais plus que capable mais, maintenant, je doute. J'ai fait une journée avec un véto et il m'a fait un peu peur. Lui-même admet que son métier est en déclin. Il y a plus de vétérinaires sur le marché que la demande de clientèle. Pour se faire une place maintenant, il faut se former longtemps et ouvrir un cabinet avec d'autres spécialistes. Je ne m'en sens pas capable. En plus, ma santé doit intervenir dans mon choix de métier qui arrive bientôt vu qu'on est déjà en janvier. Suite à ce critère supplémentaire, je suis allée au salon SIEP. En faisant plusieurs stands, je me suis intéressée fortement aux études en sciences de la motricité type éducation physique. Ces études ont le point positif de bouger et restent dans les sciences donc ça me va.
Et vous? Comment faites-vous dans les mauvaises passes?
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