Chapter 16.5

1.3K 137 0
                                    

C'est un petit bonus pour recentrer un peu l'histoire, ne tapez pas. 
Je prépare la sortie ne nouvelles œuvres prochainement, donc je mets plus de temps à publier ici pour le moment. Vous me pardonnez, hein ?

*

Quelques bribes entendues dans le restaurant 

Quelles que bribes entendues par les serveurs du restaurant.

– Comment vous saviez pour la morphine ?

– Vous en présentiez les symptômes avant de partir.

– Vous ne vous demandez pas pourquoi j'en prenais.

– Ma foi, c'est fort simple. On vous la prescrit en toute légalité pour soigner les éventuelles douleurs de votre jambe. Toutefois, vous en faites une utilisation thérapeutique bien différente.

– Elle me permet de rester concentrée, même si le stress ou mon environnement m'en empêche.

– Vous n'avez aucun signe d'addiction, malgré tout.

– C'est bien ma seule chance, alors on va s'en réjouir. Ce n'est pas votre cas, à vous.

– On vous l'a dit ?

– Blâmez John de m'en avoir parler si le cœur vous en dit. La première soirée, où nous sommes sortis. Il m'a donné toutes les informations que je devais savoir pour... Pour que notre colocation se passe bien.

– Je m'en doutais...

– Ne vous offusquez pas, il a bien fait. On se serait entretuer sur les débuts et je ne vous estimerai pas autant s'il n'avait pas passé tout le repas à faire des éloges sur vous.

– Tant que nous sommes aux aveux. Combien Mycroft vous paye pour me surveiller ?

– Ah... Oui... Je ne vous dirai pas le nombre, sachez juste que cet argent nous sert en partie à payer les factures. Pourquoi, vous en vouliez combien, vous ?

– Je n'ai pas besoin des carottes de mon frère. Au moins, cela vous fera des économies avant votre départ.

– Oui... c'est vrai. J'en avais oublié que ce n'était que pour un moment.

– Vous êtes bien la première à ne pas vouloir fuir ma compagnie.

– Vous l'avez déjà dit, Sherlock.

– Je sais, je voulais m'assurer que vous le sachiez aussi. (marque une pause) Vous me considéreriez comme un ami ?

Je manque de m'étrangler en buvant une gorgée d'eau.

– Klaus était ce qui s'approchait de mon meilleur ami, alors qu'il était mon cousin et mon mari. L'amitié, je n'ai pas vraiment connu ça. Alors, je ne sais pas si je suis capable d'avoir un ami normal.

– Je ne suis pas une personne normale, semble-t-il.

– Alors on peut essayer. J'essaye d'être votre amie si vous faites un effort pour être le mien. 

*

Merci à tous pour vos lectures, vos commentaires, vos votes, tout cela représente beaucoup pour moi <3
N'oubliez pas que pour suivre de mes nouvelles régulièrement, il y a d'autres canaux :

Compte officiel Wattpad : enleytyler

Facebook : Enley Tyler (page officielle)

Instagram : enleytyler

À très vite !


Une colocataire irascibleWhere stories live. Discover now