Chapter 18.5

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Attention grosse question !

Il faut savoir que nous ne sommes qu'au début de toute cette histoire, mais c'est déjà très long. Pourtant, plus j'avance dans l'écriture, plus des idées me viennent et je cherche à les insérer par tous les moyens !

Du coup, j'ai une proposition à vous faire... Si, si, à vous !

Proposition 1 : Soit, je fais une sélection dans toutes mes péripéties, quitte à bâcler un peu et de rester sur quelques questions sans réponse, mais je termine «Une colocataire irascible» sans durer 200 chapitres.

Proposition 2 : Soit, je clos l'intrigue principale, puis je me mets à la rédaction d'un second tome avec une autre intrigue et peut-être un développement plus croustillant. (sans promesse aucune pour le croustillant, je suis moyennement douée pour cela)

Je vous laisse à vos commentaires et vos appréciations. N'oubliez pas de voter, commenter à foison et si jamais vous vous ennuyez encore, il y a toujours mes autres œuvres ainsi que mes histoires sur mon compte principal «EnleyTyler ». Bonne lecture de bonus <3 

*


Tant que mon perturbateur de colocataire est sous la douche, il faut que je rentabilise mon temps. Je n'hésite pas, j'appelle... À l'autre bout du fil, on décroche presque immédiatement.

– Allô, Lizzy ?

– Hakan ! Young Lady ! Ça va ? Je m'en veux tellement d'être partie, tu sais.

Plus elle me surnomme comme cela, plus j'ai envie de lui faire manger sa collection de jupe patineuses.

– C'est rien, c'est rien. Dis, je dois...

– Mais si, voyons ! Je t'avais dit que je serai là...

Je vais m'énerver...

– Lizzy...

– En plus, quand j'ai appris que Leif n'était pas venu...

Je vais vraiment finir par exploser...

– Lizzy !

– Je te jure que j'ai culpabilisé...

– ELIZABETH REISMAN !

Voilà. J'ai craqué.

– Oups ! Je parle trop c'est ça ?

– Oui ! Écoute-moi, merde ! J'ai une question à propos du hacker...

– On l'a coincé, Hak, c'est bon...

– Tu vas me laisser en placer une, oui !

Silence. D'accord, je suis abrupte, mais est-ce que tout le monde est obligé de me contrarier aujourd'hui ? Quand c'est pas l'autre qui se balade en petite tenue affriolante, c'est ma cousine qui me hérisse le poil...

– Le hacker, il a pénétré les données de Klaus ? j'insiste.

– Oui, lui aussi. Mais pourquoi tu veux savoir ?

– J'ai reçu un sms assez... étrange.

– De... Klaus ?

Je ne sais pas quoi répondre, là, tout de suite. Mais je crois comprendre ce qu'elle a à m'avouer.

– Depuis combien de temps, Lizzy ?

– Un bon mois je crois. J'en reçois deux ou trois par semaine.

– Tu comptais m'en parler quand ?

– Jamais. Je suis justement revenue de Bruxelles pour les révisions de nos propres systèmes de sécurité. Je pensais que c'était terminé.

Je l'entends renifler, elle se retient de pleurer. Elle a peur, pas besoin de la voir en face pour savoir cela. Il faut que je puisse la rassurer.

– Alors, soit on a épinglé le mauvais gars, soit on a taper le pied en plein dans la fourmilière.

– Hak, qu'est-ce qu'on va faire ?

– Exterminer les nuisibles. Il y a quelqu'un qui nous invite à jouer, c'est à notre tour maintenant.

– Tu as bien l'air sûre de toi.

– Il y a un truc que tu devrais savoir depuis des années, Lizzy. C'est que quand on joue avec moi, on finit toujours par perdre.  

Une colocataire irascibleWhere stories live. Discover now