HUNTER

*Chapitre 56*

-Harry-

Sa a été une des semaines les plus insupportables de toute ma vie. Des sentiments auxquels je n'avais jamais fais face mon frappé violemment et je n'avais personne avec qui passer mon temps pour oublier mes malheurs. La seule personne à qui je fessais réellement confiance était en colère contre moi et je la comprend très bien parce que je m'en veux aussi. J'ai agis comme un imbécile. Je n'aurais pas du partir comme je l'ai fais, mais j'ai eu la trouille. Sa ne m'arrive jamais. Je n'ai jamais eu la trouille devant rien d'autre auparavant. Quand elle m'a avouer ses sentiments, c'est comme si on m'avait poignarder avec un couteau qui causera ma mort. Je sais très bien que je suis déjà dans la merde jusqu'au cou avec le plan mais j'ai abandonné cette idée. Si je dois empirer ma situation pour protéger Amber, je n'oserai pas à le faire.

Durant toute la semaine, je sentais sa tristesse et la trahison qu'elle respirait. Je ressentais ses malaises et ses moments de pur désespoirs. J'ai passé chaque soir à aller la voir pendant qu'elle dormait, seulement pour être certain qu'elle était en sécurité. Elle est passé à un cheveux de me voir debout au pied de son lit mais je suis partis le plus rapidement possible.

La seule chose qui m'a rendu heureux pendant ces cinq jours, c'est quand que je lui ai avoué que je rescentais aussi quelque chose, je voulais les étoiles dans ses yeux et tout l'amour qu'elle pourrait m'offrir. C'est quelque chose que je trouve totalement encenser car... je n'ai jamais été la personne la plus importante aux yeux de quelqu'un. Et aujourd'hui, je suis fier de dire qu'elle est aussi la chose à laquelle je tiens le plus.

Nous sortons de la classe dans laquelle nous venions de s'embrasser, quand Louis s'avance et passe devant moi, me fessant un de ses sourires hypocrites. Je déteste quand il me regarde de cette façon mais je peux vivre avec. Il est comme mon frère. La famille c'est parfois horrible mais c'est souvent avec eux qu'on passe les plus beaux moments de notre existence. Louis et moi se connaissons depuis notre plus tendre enfance. Il fait partit de moi malgré nos mauvais entendus.

Je lui fais un signe de tête assez sympathique avant de me placer près d'Amber. Elle me sourit timidement. J'attrape sa main et observe la bague accroché à l'un de ses doigts qui cause un réel problème dans la réalisation du plan... Je l'analyse attentivement encore quelques secondes avant d'entrelacer nos doigts pour ne pas avoir l'air imbécile.

Elle semble me raconter une histoire qui l'intéresse mais ne suis beaucoup trop plongé dans mes pensées alors je ne fais qu'hocher la tête quand elle me regarde.

"Harry es que tu m'écoutes?" Nous commençons à monter les escaliers.

Sa ne sert à rien que j'aille en cours, je vais être en retard et ils ne me laisseront pas entrer dans la classe. Je vais aller la reconduire et j'irai ensuite rejoindre Louis.

"Harry?" Je secoue la tête la regardant.

"Désoler." Dis-je poussant la grande porte, la laissant passer devant moi.

"Comme je te disais..." Je soupire silencieusement.

Nous arrivons devant son cours, alors je m'arrête. "Tu termineras de me raconter sa plus tard okay?" Je l'embrasse sur le front. "Je serai avec Louis." Elle me sourit avant d'entrer dans sa classe.

Je descend les escaliers rapidement, en les passant deux par deux. Je passe prendre mon manteau et sors à l'extérieur me dépêchant sachant que Louis m'attend impatiemment dans sa voiture.

J'ouvre la porte et m'installe sur le siège passager. Une atmosphère lourde et désagréable se tient entre nous depuis un certains labs de temps. Il me tend son paquet de cigarette me regardant d'un air amicale. Je ne peux refuser la source de réconfort qu'il m'offre et le prend sans me poser de questions. J'en allume une, le sourire au coin de mes lèvres et l'amène à ma bouche.

Louis démarre l'automobile et commence à avancer sur la route seulement quelques minutes plus tard.

"Tu sais que je ne le ferai pas." Il tourne la tête vers moi pour me regarder deux secondes et ramener son regard sur le chemin.

"Tu dois le faire! Se n'est plus un choix maintenant!" Je lui lance un regard noir dégageant le forte fumée au dessus de ma tête à cause de la cigarette. "Tu sais que sa a prit du temps la retrouver! Et tu sais très bien que son père va revenir! On a plus le temps de niaiser merde H!"

"Tu sais que je tiens à elle beaucoup plus que toi!" Celui-ci ne me répond rien et ne fait qu'absorber mes paroles.

Il s'arrête dans le petit stationnement d'une vielle maison abandonnée. "Voyons se que les autres pense de toi." Je soupire sortant de la voiture.

Nous entrons dans la demeure où se tient une dizaines de gens qui sont comme ma famille. Ils sont tous comme moi se qui resserrent les liens entre nous. Je croise le regard de certains de mes coéquipiers au teint pâle avant de voir Louis se lancer sur le canapé et de croisé les bras contre son torse. "Harry veut plus le faire." La plupart des vampires se retournent vers moi. Je garde la tête hautes camouflant mes mains dans les poches de mon jeans foncé.

"Moi je peux le faire si tu veux, en plus, elle m'aime bien." Lance Alexander s'avançant vers moi.

Le garçon de la bibliothèque. Évidemment qu'il décide de ce mêler des choses qui ne le regarde pas. Je voyais dans son regard depuis le début qu'il n'attendait que l'occasion parfaite pour essayer de me piquer ma place.

"Elle ne t'aime pas alors non tu ne feras rien." Le garçon face à moi soupire et se retourne vers les autres qui semblent totalement désorienter.

Je sens la chaleur de ma colère qui serre violemment ma gorge. Je lui sauterais au cou, mais il est une partie de ma famille, si je fais sa, je suis banie.

"Vous avez entendu parler de son père qui revient?"

"Je croyais que c'étais une rumeur!" Lance Kevin abasourdit.

"Non et sa nous met encore plus de pression, il faut que sa se passe maintenant!" Ajoute Louis levant le ton et donnant un coup de point sur la table basse.

"Il faut qu'on change de stratégie si son paternelle vient se mettre dans le décor." Ajoute Stephan.

"Vous proposez quoi?"

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Je reste installer contre le mur de la chambre d'Amber la regardant dormir. C'est une des seules façons de me détendre est seulement de voir qu'elle est bien.

Puis, on m'agrippe par le colet. Je repousse la silhouette noire qui me bouscule et s'approche très près de mon oreille.

"Styles je sais pas qu'es que tu viens foutre ici mais tu vas partir maintenant!"

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