CHAPITRE 20

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— Ah ! Vous voilà !... Ah ! Vous avez une mine affreuse ! me congratule mon séduisant client.


Séduisant ! Car il faut dire qu'il a de beaux attributs. En dehors de son fessier dont t-on ne parle plus, il a un corps de rêve et un regard à faire pâlir n'importe quelle fille... Il porte un pantalon d'un costume trois pièces d'un bleu nuit avec une chemise blanche et un gilet de la même couleur que son pantalon, il est presque sexy dans cette tenue, si il ouvrait quelques boutons de sa chemise... le tour serait joué !


— Je suis désolée mais je ne suis pas en grande forme aujourd'hui....

— Quelle cravate m'irait le mieux avec ce costume ? me demande t-il de choisir entre une cravate bleu ciel et une grise.


Il est sérieux ? Il m'a demandé de monter jusqu'à sa suite pour choisir quelle cravate lui ira le mieux... Mais je m'en fous complètement de sa cravate ! Toutes les deux font l'affaire !


— Ne faites pas cette tête là ? J'ai un rendez vous très important dans une heure et je voudrais être au meilleur de ma forme et très convaincant...

— Avec une femme ?

— Quoi ?

— Votre rendez-vous c'est avec une femme ?

— Pas que... c'est pour affaires !

— Alors la grise ! Ça fait plus sérieux !


Je la lui prends des mains et l'entour autour de son cou.


— Vous avez fait la fête après notre dîner, hier soir ?

— Non !


Je lui fais un joli nœud.


— Alors pourquoi cette mine ?

— Je suis malade... je lui révèle en serrant le nœud un peu trop fort.

— Attention ! Vous aller me tuer !

— Désolée ! je m'excuse et desserrant un peu.


Il faut dire que je n'ai pas toute ma tête aujourd'hui. J'ai l'impression qu'elle est restée dans la cuvette des toilette...


— Laissez ! Je vais le faire !


Je m'éloigne et j'en profite pour admirer la pièce où je me trouve...Le salon est très vaste et trop clinquant... ça manque de modernité. Je ne pourrais pas vivre dans un tel endroit.

Mais un objet prend toute mon intention. Il s'agit d'une corbeille en laiton avec des motifs géométriques... J'adore ses objets anciens avec une patine naturelle... Ça les rend vivant.


— Ça vous plaît ?

— Oui beaucoup ! je répond pansant qu'il parlait de la panière.

— Ça m'étonne de vous que vous appréciez un tel lieu ? me dit-il surprit par ce qu'il vient d'entendre de ma bouche.

— Non pas la salon ! J'aime beaucoup cette corbeille !

— Vous m'avez fait peur...

— Vous avez encore besoin de mes services ? je demande, étant pressée de quitter cette suite, j'ai peur que les nausées me reviennent et je ne voudrais pas me mettre dans des circonstances plus que désastreuses devant lui.

— Non ! Merci ! Vous pouvez y aller ?

— Bonne journée ! je prends congé.

— Bonne journée à vous aussi !


Et sur ces mots je quitte la pièce, ravie de me retrouver seule sans personne à mes côtés pour me dire que j'ai une sale tête. Je m'avance jusqu'à l'ascenseur et attends que celui-ci ramène ses fesses...



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Coucou, un chapitre court et très simple mais le suivant risque de vous plaire mais pour ça il faudra attendre demain...

Bisous et bon dimanche à tous !


N'oubliez pas de me dire ce que vous en pensez de cette histoire, si vous pensez que je dois faire des changements... Je suis toute oui !


DIS MOI OUI ! Tome 1 et 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant