CHAPITRE 49

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— Il était temps ! Je croyais que j'allais descendre toutes tes affaires à coup de pied dans les escaliers ! m'indique Silvia lorsque j'arrive dans notre chambre.

— Désolée ! Mais monsieur a voulu joué avec mes nerfs... je tente de justifier mon retard.

— Gil ! sursaute t-elle à la vue de mon mec.

— Silvia ! lui fait-il la bise.

— Oui, j'ai pensé qu'ils nous seraient d'une grande aide avec les bagages, je lui indique le pourquoi de sa présence.


Mais la vérité c'est que je n'ai pas très envie d'être loin de lui. Je veux profiter de lui au maximum.


— Tiens porte ça ! Ce sont les affaires de ta dulcinée, lui jette t-elle aux pieds ma grosse valise.

— Attends ! Tu as tout rangé ? je demande abasourdie.

— Oui, comme tu vois ! Vu que madame la princesse ne venait pas, je ne suis pas restée les bras croisés moi !

— Je suis désolée ! je m'excuse avant que mon chers amant prenne la parole.

— C'est de ma faute ! Elle n'y est pour rien ! prend t-il ma défense.

— Toi, mon garçon tu as du soucis à te faire ! le prévient Silvia. Tu vois cette femme, (moi en l'occurrence me pointe t-elle du doigt) c'est ma meilleure amie, je ne te permettrai pas de te mettre entre nous, c'est bien entendu ?


Padre hoche la tête, il n'ose pas parler. Mon amie peut être très intimidante.


— Et tu dois impérativement prendre bien soin d'elle ! Ou sinon tu auras à faire à moi ! finit-elle par le terroriser.


Après un dernier coup d'œil à la chambre et à sa salle de bain, nous sommes fin prêts à quitter l'hôtel pour l'appartement de rêve. Arrivant à l'accueil, Ana nous reçoit avec une triste mine.


— On reviendra te voir ! je lui promets.


On règle la note et après une longue embrassade, il est temps de partir. Gil reste en retrait et nous indique à moi et à Silvia de prendre la direction du taxi pendant que lui murmure quelque chose à Ana. Que manigance t-il ?


— Tu viens ? je l'interpelle.

— Oui ! J'arrive ! me stipule t-il avant de s'adresser à Ana. Vous voyez elle ne peut plus vivre sans moi !

— Allez bel étalon ! Arrête tes bêtises ! je le somme de venir.


Alors voilà de quoi il parlait, de moi ! Ana me salue de la main, tandis que monsieur aux non belles fesses mais très ferment me rejoint à grandes enjambées.



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Voilà un petit chapitre qui a le mérite d'exister ! LOL

Une très bonne semaine à tous et à toutes !

A partir de lundi prochain je vous posterai trois à quatre chapitres par semaine, soyez au rendez-vous ! Je suis presque à la fin de la première partie... Souhaitez moi bonne chance !

Bisous ! A très vite !

DIS MOI OUI ! Tome 1 et 2Onde as histórias ganham vida. Descobre agora