Chapitre 13 - Paparazzis

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Je rend mes patins dans la petite cabane après Michael et je remets correctement mon manteau un vent léger s'étant lever. Les boucles de Michael bougent légèrement a ce vent et j'ai juste envie de passer mes mains dedans pour avoir la sensation de douceur sur mes doigts. Je ferme un instant les yeux ayant des images peut catholique et pense a ses cheveux si ont étaient en train de faire l'amour. J'y pense de plus en plus, j'ai envie de le faire avec lui. Il est different des autres hommes, avec lui c'est devenue un besoin urgent. Je ne sais pas si cela est pareil de son côté mais je l'espère. J'avoue que j'ai un petit peur, je sais qu'il aime mon corps. Mais si une fois nue devant lui il es dégoûter. Je pense que je ne m'en remettrai pas.

Je suis interrompu de mes pensées par une main qui passe dans mon dos surement pour me faire réagir. Je tourne la tête et tombe sur le visage inquiet de Michael. Il me questionne du regard pour savoir ce que j'ai, mais je le rassure en lui disant que tout va pour le mieux. Une fois que toute les paires de patins ont été rendus nous reprenons l'ascenseur. Arriver en bas ont se rend compte devant les portes que il y a une énorme foule devant le building. Je prend soudainement peur, c'est sur qu'ils ont vus les photos. Je soupire légèrement et essaie de me rassurer.

Entourer des gardes du corps de Michael nous traversons ce banc de paparazzis qui nous interroge en nous criant dans les oreilles. Les questions fusent de partout ajouter a sa par les cliquetis incessant des appareils photos. Je suis éblouie par chaque flash qui m'entoure et je suis obliger de marcher a l'aveuglette ma main devant mon visage guider par la main de Michael qui se trouve dans mon autre main.

Au moment ou je m'apprête a entrer dans la voiture je sens quelque chose me tirer en arrière et je fini rapidement sur le sol des dizaines d'appareils photos m'entourant. J'essaie de me dépêtrer d'eux quand une main sors de nulle part pour me sortir de la. Il attrape mon poignet et me pousse presque dans la voiture pour ensuite refermer la porte. Je suis tout de suite accueilli par Michael qui me prend dans ses bras pour vérifier que je n'ai rien. En regardant son visage je vois ses yeux remplis d'inquiétude, mais seulement ses yeux vu que son visage montre tout autre chose.

Sa mâchoire carré est tellement serrer que j'ai l'impression qu'il va se la casser et ses poings sont tellement serrer contre moi qu'il sont brulant. Je passe mes mains sur son visage pour le détendre et pose mes lèvres sur les siennes pour le rassurer. Il répond a mon baiser et se sépare de moi quelque secondes plus tard pour déposer ses lèvres sur mon front, surement pour me montrer son inquiétude. Le chauffeur démarre la voiture et s'engage pour rentrer a l'hôtel.

Une fois devant les portes de l'hôtel, Michael sort de la voiture et la contourne pour ouvrir ma portière. Il prend ma main dans la sienne pour m'aider et je descend sur le trottoir. Je m'avance vers la porte, je m'attend a être suivie de prêt par Michael, mais je me rend compte rapidement que personne n'est derrière moi. Je me retourne et le vois toujours poster prêt de la voiture. Il s'avance voyant mon inquiétude et prend mes mains dans les siennes.

"J'ai pas très envie de rentrer maintenant. Je vais aller prendre l'air."

"Tu reviens quand ?"

"Ne t'inquiète pas pour moi. Rentre, prend un bain et détend toi. Je reviens rapidement."

J'acquiesce même si j'ai envie qu'il reste a mes côtés et que j'ai envie de faire disparaitre sa colère. Il retourne dans la voiture et me fait un salut de la main quand il commence a s'éloigner. Je soupire fortement et entre dans l'hôtel, je prend l'ascenseur et arriver devant notre chambre, j'y entre pour directement me rendre dans la salle de bain. Je me prépare mon bain et plonge presque dedans tellement j'en ai besoin. Le froid a bruler ma peau et j'ai froid.

Dans l'eau je suis totalement allonger et j'essaie de penser a autre chose que ce qu'il viens de se passer. Mais bon pas facile je n'ai que sa en tête. Je fini par plonger dans la baignoire, émergeant totalement ma tête en prenant mon souffle.

Je viens de sortir de la salle de bain, et je constate que Michael n'est toujours pas revenue. Et bien oui, sa fait quand même une heure que je trempe dans l'eau, il aurait pu revenir entre temps. Je fini par m'installer sur un des canapés pour bouquiner un peu mais je fini par m'y endormir rapidement.

C'est a 8 h le lendemain que je me réveille toute courbaturer par cette nuit passer dans le salon, en plus des courbatures de la patinoire. Le soleil qui passe a travers les rideaux ma reveiller et sa ne m'enchante pas. Voulant encore dormir je me rend dans la chambre et remarque au passage que le lit est vide. Sois il n'est pas rentrer de la nuit, sois il est déjà repartie. Mais je ne me souviens pas d'une chose qu'ont avaient a faire ce matin. Je soupire de frustration et me retourne pour me rendormir.

Je viens de me lever et je suis appuyer sur la rambarde du balcon qui borde notre chambre. Il est 9 heure et je suis toujours toute seule. Je ne sais pas ou il est et je sais qu'il n'est pas rentrer de la nuit. Je soupire et rentre pour aller dans la cuisine pour y déposer ma tasse. Au moment ou je fini de faire la vaisselle, j'entends la porte de la chambre s'ouvrir. Je reste dans la cuisine et ne le regarde même pas quand il entre dans la pièce. Je préfère l'ignorer que de me disputer avec lui. Au moment ou il essaie de s'avancer je sors rapidement pour retourner sur le balcon. Je sais qu'il est devant la porte, je sens sa présence mais je ne lui ferais pas le plaisir de lui apporter de l'attention.

"Charlie ?"

Je passe ma main derrière moi, pour lui dire que je veux pas lui parler.

"Ne me fais pas la tête."

Je ne répond pas et je sais que cela l'énerve.

"Tes sur que tu veux m'ignorer ? Je te signale que tu a fait la même chose il y a quelque mois. Tu est partie dans Berlin sans même m'en informer et tu est rentrer a je ne sais plus quelle heure. Alors ne me blâme pas pour quelque chose que tu a fait."

Je ne relève pas sa phrase, mais je sais qu'il a raison. Je pense que je me suis juste énerver parce que j'étais inquiète. Je ne me retourne toujours pas mais je veux savoir quelque chose.

"Ou est ce que tu étais ?"

"En studio j'avais besoin de composer pour oublier le fait que les paparazzis vont continuer de nous épier et que je me suis rendue compte que j'avais peut être fait une erreur en te collant a moi devant tout le monde."

Je rigole et me retourne vers lui et je vois dans son regard dans l'incompréhension. Il doit se demander pourquoi je rigole.

"Tu a de la chance, ma mère a pas encore appeler."

Il explose de rire et je le suis rapidement. Notre fou rire ne s'arrête pas et il s'avance vers moi pour me prendre dans ses bras. Je sens que ses prochains jour vont être difficile mais je sais qu'il sera avec moi. Alors tout va bien se passer.

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