Chapitre 3- Ma mère

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BEVERLY HILLS CALIFORNIE LOS ANGELES 15 H

Je peste contre ce satané chauffeur de bus. Si il n'avait pas fait un détour, je serais arriver plus tôt. Vivement que je passe mon permis, comme sa je serais débarrasser. Oui j'aurais aussi pu prendre un taxi, mais sa se voit que vous ne connaissez pas les prix. Et oui j'aurais pu appeler ma mère pour avoir un chauffeur, mais je voulais pas lui donner la satisfaction en lui faisant croire que j'ai besoin d'elle. Je suis une tête de mule que voulez vous. Je souffle un coup pour me préparer a affronter ma mère. Vous verrez que a peine j'aurais franchie la porte, elle va commencer a déblatérer sur mon travail. Comme quoi j'aurais du faire de grande études. Vivre dans un appartement plus grand que celui que j'ai. Et toute les ineptie quelle pourra me mettre dans la tête pour me faire revenir a la maison.

Je m'aventure dans la rue, et aperçoit la maison de mon enfance. Qui n'est pas si loin que sa d'ailleurs. Je dis sa comme si j'avais 40 ans. Je secoue la tête pour enlever  la débilité de ma tête. Je m'engage jusqu'au portail et appuie sur le bouton de l'interphone.  J'attend et une voie fini par me répondre.

"Oui en quoi je peux vous aider ?"

"John c'est Charlie, je viens voir ma mère."

"Je t'ouvre."

Je ne le remercie pas et attend qu'il m'ouvre. De toute façon les gardes de ma mère ont l'habitudes. Je n'aime pas les gens qui font de la lèche a ma mère. Et je ne suis pas moi même une hypocrite, donc. Mais attention ne croyez pas que je suis impolie, loin de la. J'entre dans ce qui sert de parking pour les voitures et contourne la fontaine qui forme un sorte de rond point qui est au milieu de la court. Je l'ai toujours trouver moche. Surtout que de ma chambre je la vois. J'aurais préférer avoir une chambre au grenier, mais ma mère refusait toujours me voulant près d'elle. A côté de sa propre chambre. Je vous raconte pas la honte quand je ramenais un ami garçon. D'un côté mes frères qui l'épiaient de la tête au pieds et prêt a intervenir si il se passais quelque chose. Et de l'autre ma mère qui écoutais a la porte, parce que elle voulait qu'il se passe quelque chose. Famille de tarée.

Je toque ensuite a la porte et est accueillie par ma mère qui a du être prévenue par ses gardes. Elle me prend dans ses bras et m'invite a entrer. Elle ferme la porte, pendant que je me déchausse. Oui obliger, la maison doit être toujours propre, au cas ou elle reçoit quelqu'un. Ont entre ensuite dans la cuisine, et je m'installe autour de l'îlot en marbre.

"Je suppose que tu est la parce que tu n'a pas envie de faire du shopping, que de toute façon tu tes réveiller trop tard et que tu n'a pas de robe pour se soir."

Je vous avais dit quelle devinait tout. Je crois quelle a un radar dans sa tête.

"Gagné."

"Je le savais. C'est pour sa que je t'ai envoyer la lettre le plus tard possible."

"Comment sa ?"

"Je savais que tu travaillais tard hier, et que tu dormirais jusqu'à pas d'heure. Je savais que tu viendrais. Et je voulais te voir avant la fête, donc je pense que j'ai bien réussi mon coup. Je te connais par cœur ma fille."

Je croise mes bras sur ma poitrine et la regarde suspicieusement. Comment a t-elle eux mon emploie du temps. Il y a une taupe a mon travail, je ne vois pas d'autre solution.

"Et pourquoi voulait tu me voir ? Sans indiscrétion."

"Pour te donner la robe que je t'ai acheter. Va la voir elle est dans le salon."

One Day In Your LifeWhere stories live. Discover now