Chapitre 2- Mon chez moi

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Je passe le balais, range les produits, passe le chiffon, et range enfin l'équipement de nettoyage dans le local. Avant de partir, le salon doit être impeccable pour les collègues qui ouvriront demain matin. Ce que certaine personnes ne font pas. Et le lendemain ont doit tout renettoyer. C'est super la vie en communauté. Tout pour nous faciliter la vie. Je souffle fortement, passe une main sur mon front et me dirige vers le vestiaire. Il y en a qu'un seul pour l'instant. Si un jour ont a un homme dans l'entreprise il faudra en construire un autre. Mais je ne pense pas que cela arrivera demain. Vous savez ont vis dans une époque ou l'homme se crois au dessus de tout, il ne peuvent pas faire ce métier c'est pour les filles selon eux. J'espère que cela changera au fil des années.

J'ouvre la porte et rentre pour aller jusqu'à mon casier. Je déverrouille le cadenas et commence a me déshabiller. Je galère un peu a enlever ses fichues boutons. Si je le pouvais je ferais comme dans les films érotique a chaque fois qu'ils enlèvent leurs vêtements pour passer a l'attaque. Vous savez ce moment ou la femme arrache la chemise de l'homme. Sa serait beaucoup plus facile. Mais bon je ne vais pas allez voir ma patronne tout les jours pour lui en demandez une neuve. Sa paraîtrais suspect quand même. Et sa lui coûterais cher. Je me vois pas lui expliquer aussi pourquoi j'ai fait sa. Et a quoi je pensais a se moment la. Vous imaginez ?

Une fois habiller j'attache mes cheveux en un chignons dégoûtant. Et enfile mon manteau. Oui mes cheveux sont en désordres. Tout le monde n'a pas un équipement de coiffure ranger dans son casier vous savez. A part les femmes parfaites, mais vu que je n'en suis pas une, cela ne risque pas d'arriver. Je rigole toute seul a mes propres penser et sort finalement de l'établissement après avoir éteins la lumière. Heureusement que il n'y a personne, ont me prendrais pour une folle si ont m'entendais rire toute seule. Je ferme le rideau métallique et pars en direction de mon arrêt de bus. Oui je n'ai toujours pas le permis, ma mère a batailler avec moi pour me le payer. Mais j'ai refusé, je ne veux plus d'argent de sa part.

Mon bus finit par arriver dix minutes plus tard, et je souffle d'agacement en apercevant qu'il est blinder. Il l'est tellement que je ne sais même pas si j'e pourrais monter dedans. Je monte difficilement et m'installe comme je peux près de la porte de sortie pour ne pas le faire a la dernière minute et risquer de rater mon arrêt. Le trajet n'est pas trop long en soit, mais je préfère prendre le bus a cause des rues. Certaines ne sont pas très fréquentable. Tout le monde pense que Los Angeles est la ville la plus belle de Californie, mais quand ont voient les sans abris, les poubelles et les voleurs ont n'y vois plus trop du rêve. Mon bus s'arrête finalement et je griffe au passage la main du mec qui l'a poser sur mes fesses. Vous voyez même quand je prend le bus ce n'est pas sûr. Je souris satisfaite de lui avoir fait mal et je descend pour me retrouver a quelque mètres seulement de mon hall d'immeuble. Ce n'est pas du luxe, mais c'est mon chez moi et j'aime y habiter.

Comme je vous l'ai dit je vis dans le luxe depuis ma naissance, donc un appart dans un petit immeuble me suffit amplement. Je ne suis pas le genre de personnes qui apprécie allez au soirées mondaines avec ma mère. Tout les gens qui y sont présents représentent pour moi l'hypocrisies puissance 1000. Voila pourquoi j'ai tenue a me trouver un appartement loin de Beverly Hills. La ou ma mère réside. Dans sa grande belle maison blanche parfaitement ranger. Je peux vous dire que cette maison ne me manque pas. Combien de fois je me suis retrouver toute seule a errer dans ses grand couloirs vides de personne humaines. J'étais une petite fille solitaire sans personne a qui parler. Me lancer dans la vie a été très difficile, personne ne m'a appris a être sociable ou vivre en communauté.

Je monte les escaliers jusqu'au troisième étages et m'arrête devant ma porte totalement essouffler, et oui sans ascenseur c'est dure. C'est pas grave, sa fait les cuisses. J'entre les clés dans la serrure et déverrouille la porte pour ensuite entrer. Je pose directement mon sac a main par terre, et enlève mes chaussures. Je suis tout de suite accueilli par mon petit chien qui me saute sur les jambes pour obtenir un câlin. C'est un petit corgi a grande oreille, il est presque entièrement marron. Il a 6 ans, se nomme Attila et m'a été offert par ma mère pour mes 18 ans. Ne me demander pas pourquoi je l'ai appeler comme sa, même moi je ne sais pas ce qui ma pris ce jour la. Je lui caresse sa petite tête et le prend ensuite dans mes bras pour le couvrir de caresses. Heureusement que mon travail n'est pas loin, sinon ce pauvre petit ange ne sortirais pas le midi. Je vais dans ma cuisine ouverte et prend ses croquettes qui pue après l'avoir reposer sur le sol. J'en verse dans sa gamelle qu'il déguste visiblement avec appétit. Il m'attendais impatiemment.

One Day In Your LifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant