Chapitre 11- En retard

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24 JUIN 1994 LOS ANGELES APPARTEMENT DE CHARLIE 8 H 30

Qui est la personne qui est en retard dès le début de son nouveau travail ? Vous l'aurez deviner c'est moi. J'avais rendez-vous a 8 h a l'aéroport et je n'y suis toujours pas. Et je sais que j'aurais beau inventer je ne sais combien d'excuses, sa ne fonctionnera pas avec le patron que j'ai. Surtout avec ce que je lui est dit la dernière fois que je l'ai vu. Tant pis si je le paie, il fallait que sa sorte, j'étais a bout se jour la. D'ailleurs je ne sais pas si sa la fait réfléchir, mais depuis se jour je ne l'ai plus vu. Et plus aucune voiture n'est poster en bas de chez moi a suivre tout mes déplacements. Tant mieux je ne l'ai plus sur le dos.

Vous vous demandez sûrement ou je suis en ce moment ? Je suis en bas de chez moi et je fais tout se que je peux pour avoir un taxi. J'ai beau tendre la main, ils ne s'arrêtent pas. Je souffle fortement et lève le regard quand je vois un 4x4 se poster devant moi. Je m'écarte et peste contre l'abruti qui me bloque la vue. Je lève de nouveau la main, mais non toujours pas. Ils ont tous décider de prendre des taxis aujourd'hui. Je tourne la tête vers la grosse voiture noir et vois qu'un homme en est sorti. Je le reconnais, c'est le garde de Jackson qui est monter a la maison la première fois qu'il est venu. Je souffle en le voyant. Il ne peut pas me laisser tranquille deux minutes. Je sais me débrouiller.

"Bonjour mademoiselle Evans."

"Bonjour monsieur Bray. Qu'est ce que vous faite ici ? Vous ne devriez pas être a l'aéroport ?"

"Michael m'a demander de venir vous cherchez. Il m'a dit que il était sûr que vous serez en retard. Alors pour éviter que vous ayez plus de retard, il m'a envoyer vous chercher."

"Je peux savoir de quoi votre patron se mêle ?"

"Je ne sais pas moi, il ma juste envoyer pour vous amenez a l'aéroport. Et je ne dois pas revenir sans vous. Il me la spécifier. Et n'oubliez pas que maintenant c'est notre patron commun et qu'il a besoin de sa masseuse."

"Il faudrait que notre patron se mêle de ce qui le regarde vous ne pensez pas ?"

"Vous n'êtes pas prêt de le changer mademoiselle Evans."

"Si vous permettez je préfère que vous m'appeliez par mon prénom. C'est gênant le mademoiselle."

"Si vous en faite de même alors."

"Très bien. Je pense que je n'ai pas le choix et comme je veux pas vous créez des ennuies je vous suis."

Il me sourit et prend ma valise sans que je lui demande. Il la mets dans le coffre et m'ouvre même la portière. Galant en plus. Je le remercie, monte pour ensuite m'asseoir et m'attacher. Il monte a son tour et démarre le moteur pour ensuite s'engager dans la circulation. Les bouchons sont clairement présent. Et j'ai peur qu'ils partent sans nous. Bill le remarque et me souris dans le rétro.

"Ne vous inquiétez pas Charlie, il ne partira pas sans nous."

Je rigole discrètement et me concentre sur le paysage par la fenêtre. Je ne sais pas comment cela va se passer, mais j'avoue que j'ai un peu peur.

Une heure plus tard nous arrivons finalement a l'aéroport après beaucoup de difficultés. Je crois que je n'ai jamais mis autant de temps pour y aller, il y avait tellement de monde sur la route. Bill se gare sur un des parkings réserver a la clientèle et coupe le moteur. Pour ensuite descendre. Je descend rapidement a mon tour de la voiture pour prendre ma valise dans le coffre mais Bill m'en empêche en le faisant, la sortant pour moi. Je le remercie et la prend pour allez a l'intérieur. Ont passent par plusieurs portes et escalators avant d'arriver a la porte d'embarquement. Ou tout le monde nous attend visiblement.

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