Chapitre 5- Partir ?

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10 DECEMBRE 1993 14H30 MAISON DE GRACE EVANS

Aujourd'hui j'ai décider d'aller faire un petit tour dans le jardin malgré le froid qui m'entoure a cause de la neige qui continue de tomber dans le jardin. Je suis assise sur la terrasse qui est recouverte par le toit de la véranda qui se rétracte. Je n'ai pas froid grâce au lampe a gaz qui sont installer de part et d'autres du mobilier qui est poser sur la terrasse. Et puis j'ai un plaid qui m'entoure les épaules. Je regarde joyeusement Attila courir dans la neige, tout en buvant mon café qui est caler entre mes mains. En ce moment je ne fais pas grand chose, et sa n'a pas l'air de déranger ma mère et George, au contraire sa a l'air de plaire a ma mère de s'occuper de moi.

Nous n'avons pas reparler de ce qu'il s'est passer il y a quelque jours et je n'ai toujours pas changer d'avis ce qui n'a pas l'air de lui plaire. Mais je sais ce que je veux et je me fiche totalement de l'avis des autres.

En ce qui concerne le papa de cette enfant, je ne l'ai toujours pas contacter et je ne le ferais pas, même si ma mère insiste tout le temps. Je ne veux pas le déranger, je le vois se dégrader de jours en jours. Je ne sais pas ou il est en ce moment même, mais d'après les médias, il est en cure de désintoxication. Je m'en veux tellement de ne pas l'aider, mais je sais aussi qu'il ne veut plus de moi. Alors je suis entre deux chaises mentalement. Passant ma main sur mon ventre a cause d'un coup donner par l'être qui habite mon ventre, beaucoup de chose me passe par la tête. J'ai tellement envie de le revoir et de le prendre dans mes bras pour le réconforter. Mais je ne peux pas, je dois rester ici a ne rien faire puisqu'il ma jeter.

Entendant du bruit derrière moi, je me tourne et avec étonnement je regarde mon beau père apparaitre devant moi et prendre la chaise a mes côtés pour s'y asseoir. Il me regarde un temps ne sachant pas comment engager la conversation, je le vois a son air gêner. Il frotte ses mains sur son jean et se racle la gorge plusieurs fois. Il fini par me sourit et commence a me parler.

"Comment tu va ma grande ?"

(réfléchis quelque secondes) "Un peu perdue mais ça va. Et toi ?"

"Je t'avoue que je suis un peu perdu aussi entre ta mère et toi. (ricane) Je ne sais plus sûr qu'elle pied danser. Entre toi qui veut faire adopter le bébé et elle qui veut absolument que tu le garde. Mais toi comment tu te sens par rapport a tout sa ?"

"C'est un peu difficile a dire, je sais que je ne veux pas de cette enfant, mais en même temps sa me fait quand même du mal de le faire adopter par des inconnus. Je ne sais plus quoi penser. Plus maman qui me mets la pression c'est compliqué."

"C'est normal, ta maman ne veut pas que tu souffre, donc elle ferait n'importe quoi."

"Elle s'y prend mal."

"Je sais, elle ne pense pas comme toi et ne te demande pas du tout ton avis."

"Exactement, ont dirait que se bébé lui appartient et que il n'y a quelle qui peut décider."

"Il lui faut du temp, elle aussi elle est perdue et a peur pour toi."

Nous continuons a parler de longue minute de tout et de rien. Et sa me fait bizarre parce que je n'ai jamais eu ce genre de conversation avec mon beau père. Mais en même temps sa fait du bien d'en parler a une autre personne que mes frères et ma mère. Je n'ai pas d'amis, sa fait plaisir d'être soutenue et d'avoir un autre avis sur la question. Je n'ai pas reparler a Karen, ni michael depuis que j'ai démissionner. Je n'ai même pas pu leurs dire au revoir, donc je n'ai pas repris contact pensant qu'ils ne le voulaient pas.

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