Chapitre 9- Contrat

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MARDI 8 FEVRIER 1992

Je cours dans tout mon appartement pour essayer de trouver une tenue convenable au rendez-vous établi par Jackson. Oui ce n'est pas parce que je l'ai appeler Monsieur Jackson la veille que je le respecte pour autant. C'est lui qui me force a l'appeler comme sa. En fait je sais pas, il a sur moi un contrôle et une aura que personne n'a jamais eu a mon égard. Même pas ma mère, alors que vous connaissez son autorité.

Lui je ressens l'envie, j'ai besoin de lui obéir. Je ne sais pas pourquoi. Et depuis hier soir je me sens bizarre avec tout ce qu'il s'est passer. Le fait qu'il m'est réconforté après m'avoir menacer. Le fait d'avoir été hypnotisé par ses yeux, et d'avoir accepté ses demandes sans hésiter. Que se soit pour le travail ou le restaurant. Tout est confus.

Je me reprend et après avoir trouver la tenue parfaite je file dans la salle de bain. Oui j'ai glander toute la journée en pensant que j'aurais du temps. J'ai même fait une sieste. Oui sa épuise de ne rien faire. Je me suis réveiller a 18h. Vous vous doutez bien que je n'ai qu'une heure pour arranger ma tête et être un minimum potable. C'est un entretien d'embauche après tout. Enfin je crois. Peu importe. Je me précipite dans la salle de bain pour prendre une douche rapide pour enlever l'odeur de mes aisselles que j'ai sentie en me réveillant. Ne soyez pas dégouter je suis sur que vous l'avez déjà fait.

Une fois savonnée, rincée, je sors et m'enroule dans une serviette. Je me rend dans mon salon, mais me stoppe tout d'un coup quand mon petit doigt pied cogne l'encadrement de la porte. Je hurle en le tenant et en sautillant dans tout l'appart.

"Putain de porte de merde!"

Je le frotte pour essayer d'atténuer la douleurs mais rien y fais. Je baisse la tête et vois qu'il vire au bleu. Bon pas de talons ouvert pour se soir. Je m'habille en deux minutes, ce qui fait que je mets mon haut a l'envers. Je le remets en place et retourne dans ma salle de bain, oui encore une fois. Je me maquille légèrement, je n'aime pas sa de toute façon. J'attache mes cheveux en queue de cheval et plaque mes cheveux sur ma tête. Je n'ai pas le temps de continuer quoi que se soit, vu que la sonnette retentit dans mon appartement. Il est déjà 19 h ? Je regarde mon horloge et effectivement il est l'heure. Le temps passe si vite quand on a peur d'être en retard. Je me dirige presque débrayé jusqu'à la porte, et ne perd pas de temps a ouvrir de peur de le mettre en colère. J'ai déjà eu un aperçu la veille, je ne veux pas voir plus.

Mais en ouvrant la porte, je vois quelqu'un d'autre. Je tombe sur Bill je crois, le garde du corps qui est venue frapper a ma porte hier. Pourquoi c'est lui qui viens ? Il a annuler le rendez-vous ?

"Bonsoir mademoiselle. Je suis Bill ont s'est rencontrer hier. Je suis chargé de vous amenez jusqu'à la voiture."

Ah donc monsieur n'a pas daigné bouger ses fesses de la voiture. Très bien, je sais que je vais le regretter mais tant pis. Je regarde ce Bill en lui souriant malicieusement.

"Et bien c'est gentil de votre part monsieur d'être venu. Mais vous direz a votre patron que je ne bougerai pas de mon appartement. Puisque monsieur ne daigne pas sortir de sa voiture pour venir me cherchez, je ne sortirais pas avec lui. Tant pis pour lui. Bonne soirée monsieur."

Et je referme la porte avant qu'il ne commence a s'exprimer. Pour qui il se prend au juste, si il n'est même pas capable de venir me cherchez je ne vois pas pourquoi je suivrai cette homme. Il a dit qu'il viendrait me chercher, pas son garde du corps. Je sais que je vais le regretter mais c'était trop tentant de le faire attendre. J'aimerais voir sa tête quand il verra son garde du corp revenir sans moi et quand il aura ses explication a mon absence.

One Day In Your LifeWhere stories live. Discover now