One Day In Your Life

Chapitre 10- C'est la police

20 JUIN 2005 NEVERLAND RANCH (SOUVENIRS) 

Nous sommes tous réunis dans le salon, face a papa qui à l'air désemparer. Je ne sais pas de quoi il va nous parler, mais j'avoue avoir un peu peur de sa révélation. Je suis assis sur un des fauteuils tandis que Prince Paris et Blanket sont assis sur le canapé a ma droite. Je lève le regard vers notre père et le vois se débattre pour essayer de savoir ce qu'il se passe. 

Après tout ce que l'on vient de vivre, j'espère que cela ne sera pas énorme comme nouvelle. Il se racle la gorge longuement avant de commencer a parler. 

"Bon si je vous est demander de venir, c'est parce que je dois vous dire quelque chose."

"C'est quoi ?"

"Et bien... Il s'est passer beaucoup de mauvaises choses ses derniers mois... Et sa a chambouler notre famille."

"Ah bon ?"

"Oui Hayden... Sa a chambouler deux trois choses. Et a cause de sa, certaine personnes on commencer a me détester...Donc pour un certains temps nous allons partir en "Vacances"."

"Ou ?"

"Et bien, j'ai un ami qui accepte de nous recevoir dans son palais. C'est au Bahreïn, c'est un pays qui se trouve en Asie."

"Pourquoi on va si loin ?"

"Pour reprendre à zéro et essayer d'oublier tout ça."

"On reviendra après ?"

"Oui bien sur, on reviendra."

"A Neverland ?"

Il ne me répond pas tout de suite et je sais ce que ça veut dire. Je pousse un soupire de colère et me lève précipitamment pour me réfugier dans ma chambre sous les yeux incompréhensible de mes petits frères et de ma soeur. Je monte les escaliers en tapant des pieds pour montrer mon mécontentement et claque la porte derrière moi pour me jeter ensuite sur mon lit. 

Je tourne le regard vers ma table de chevet et les larmes commencent a couler sur mes joues quand mes yeux se posent sur la photo de ma mère. Je me relève et me penche pour la prendre et la regarder attentivement. Elle me manque terriblement, chaque jours je pense a elle. Je serre la photo contre mon torse et m'allonge sur mon lit pour finir par m'endormir a force d'avoir trop pleurer. 

Quand je me réveille, et que j'ouvre les yeux, je tombe sur la chemise rouge de mon père qui se trouve dans le lit avec moi. Je relève la tête vers lui et croise son regard avant de détourner la tête ne voulant pas qu'il voit mes larmes. 

Il me redresse en passant ses mains sous mes aisselles et me hisse pour que je sois contre son torse. Il dépose un baiser sur ma tête et caresse tendrement mon dos. 

(soupire) "Je sais que c'est difficile mon ange. Moi aussi, je n'est pas envie de quitter cet endroit, mais on a pas le choix."

"Mais c'est de l'endroit de maman."

"Je sais, mon ange et je ferais tout ce que je peux pour y revenir un jour."