Chapitre 108 - L'amoureux I

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***

- Dugan ! S'exclama Zahra en ressentant cette chaleur spéciale se diffuser dans son corps.

- ne dit pas que tu refuses mon aide  ! Repliqua Dugan, d'une voix suave.

Il savait l'effet qu'il produisait sur la jeune femme mais il ne pouvait pas imaginer que tout en lui la faisait craquer. Et actuellement, qu'il s'y dépoloyait, Zahra se perdit totalement.

- Non... balbutia t elle, mais tu sais, je peux me debrouiller toute seule. Vraiment. Dit elle d'une petite voix

- je n'ai pas dit le contraire, lui répondit Dugan en tirant subitement sur la glissière ne s'arrêtant qu'au bas du dos de la jeune femme.

Zahra qui avait sursauté n'émit le moindre geste pour s'éloigner. Et Dugan ponctua en fixant la peau laiteuse qui se dévoilait à sa vue :

- je veux rester avec toi et m'occuper de toi. Me refuseras-tu cette joie ?

- Non ! Répondit elle en fermant les yeux, tout en se délectant de la voix suave de Dugan.

Le beau Demir écarta les pans de la robe en dénudant les épaules de Zahra.  A son tour, il se perdait délicieusement dans un tourbillon de désir qu'il se déployait à maitriser. Tout doucement, il tira sur le tissu pour le faire glisser jusqu'à le faire tomber aux pieds de la jeune femme, en dénudant totalement son joli corps.

Instinctivement, Zahra avait porté ses bras pour cacher ses seins. Mais elle avait oublié que le Demir se tenant derrière et ne pouvait qu'admirer ses autres courbes tentatrices. Le regard du bel homme ne put resister à arpenter son dos, ni à glisser sur sa taille jusqu'à caresser ses fesses. À ce moment, il avait retint son souffle et crispa les mains pour les empêcher d'attoucher la peau exposée de Zahra.

Combien il aurait aimé la caresser, lui chuchoter à quel point elle était belle, que son corps l'appelait à elle. Néanmois', Dugan se força à rester calme et se contenta de l'informer :

- l'heure de la douche, jeune femme !

Sans l'avertir, il la porta dans ses bras, en ignorant son petit cri de surprise. Percevoir la nudité de Zahra dans ses bras affolait ses sens. Afin de faire outre, il compta les six pas les menants sous la douchettes. Dès lors, il déposa la jeune femme, et actionna immédiatement  le mitigeur pour les asperger d'eau, en espérant que ceci calmerait son embrasement.

Cette fois ci ni lui ni Zahra ne pouvaient se dérober au face à face. Elle trop consciente de sa nudité sous le regard intense du bel homme, et lui incapable de résister à la belle poitrine de la belle femme et qui lui rappela l'autre soir dans sa chambre.

En remarquant la gêne de Zahra, il la taquina :

- tu n'étais pas gênée l'autre soir. Puis en s'adossant des mais au mur, en tenant prisonnière la jeune femme, il inclina la tête vers elle et ajouta :

- si nous n'avions pas étais interrompus nous aurions dépasser cette étape ! Enfin, tu ne trouve pas que ce n'était que partie remise ?

Zahra le regarda à travers les sillons d'eau qui ne l'empêchaient guere d'apprécier la beauté de cet homme. Les boucles mouillés de ses cheveux sous le jet et son regard bleu, sa chemise qui lui colait à la peau accentuant sa force et la virilité qu'il dégageait.

- oui, dit elle dans un chuchotement, en furetant son regard.

il lui hissa le menton de sorte à contempler ses yeux, puis annonça :

- ne m'en veux pas, mais je ne veux rien sur toi qui me rappele ce maudit Güngör !

Elle aussi ne désirait rien qui lui rappelerait ce pervers. Mais elle avait oublié que tout ce qu'elle portait sur elle, actuellement, se résumait à la miniscule cullote qui dissimulait son intimité. Et avant qu'elle ne puisse réagir,  les mains de Dugan étaient déjà sur sa taille puis ses hanches, en faisant descendre la petite lingerie. C'était la première fois qu'elle autorisât un homme à la déshabiller ainsi, la première fois, qu'elle laissait un homme regarder son corps nu. Elle ne put que sombrer dans l'embaras en se couvrant le pubis de ses deux mains.

Bébé à l'improviste...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant