Le média "Eye of the storm" est une chanson d'un groupe Russe, les paroles sont profonds et magnifiques (bien évidemment, je le sais grâce à notre cher traducteur google). mais sans les comprendre et rien qu'en écoutant cette musique je succombe au charme intriguant et ténébreux qu'elle dégage.
J'ai tenue à la partager avec vous comme elle m'a accompagnée tout au long de l'écriture de ce chapitre.
Qui, encore une fois, n'est qu'un premier jet mais j'espère qu'il vous plaira. Bonne lecture. Delilah 😙***
Rize - Résidence Beyaz gül (La rose blanche)
12 h 30
Les voitures ralentirent en approchant le grand portail à deux vantaux. Les robustes battants fabriqués en fer forgé et peints en argent métallisé, représentaient l'unique passage au milieu de la clôture murale blanche qui semblait s'étendre à l'infini, sur les deux côtés, témoignant de l'immensité du domaine qu'elle délimitait. Les deux battants s'ouvrirent instantanément sur quatre hommes armés, dont l'un avança prudemment vers la première voiture, celle qu'occupait Dugan.
Ayant lui même recours à ces même protocoles de sécurité qu'Arun avait instaurés partout autour de lui et de sa famille depuis des années, il suffit à Dugan de baisser sa vitre pour permettre au garde de l'identifier. Un simple geste par lequel il s'annonça à celui-ci, qui dès qu'il le vit, le salua respectueusement puis fit signe aux autres pour laisser passer les deux voitures.
Dans la longue allée au sol bétonné, les véhicules reprirent une vitesse normale. De majestueux sapins se dressaient fièrement vers le ciel clair et défilaient sur leur passage en promettant de leur tenir compagnie durant toute la traversée. Dugan ne s'étonna pas de voir ces belles arbres garnirent les deux bords de l'allée, étant l'arbre préféré du propriétaire des lieux.
Au fur et à mesure de leur avancée, une construction vitrée surgissait et grandissait. La grande villa à l'architecture moderne n'était que synonyme d'exotisme et faste. À premier vu, Dugan faillit croire que la maison était entièrement faite en verre, jusqu'au moment où l'aile gauche de l'édifice, jusqu'au là eclipsée, devint visible. Cette partie, construite en béton et blanchie à la chaux représentait mieux le maitre de la maison. Un sourire étira les lèvres de Dugan en apercevant le grand homme en chemise blanche, qui se tenait sur la grande terrasse d'entrée... Son hôte... Savaş. Dugan se demanda même si ce dernier n'avait choisi la couleur de son habit de sorte à se mêler avec le design de sa demeure à n'en fait qu'un, il était même prêt à le parier, connaissant l'amour de ce dernier pour cette couleur.
- Dugan, enfin chez moi, s'exclama son ami en venant l'accueillir.
- Oui, enfin ! Répondit Dugan en gratifiant l'homme en blanc d'un beau sourire.
Les deux hommes s'échangèrent une accolade chaleureuse avant que Savaş ne s'écartât de lui en le tenant par les bras.
- Comment tu vas mon ami? Il posa sa question alors que son regard perçant sondait Dugan.
- Mieux que toi ! Rétorqua Dugan d'un air plaisantin, évitant ainsi de répondre à la question délicate de Savaş. Ce dernier l'ayant deviné, n'insista pas.
- Et Egan ?
- De mieux en mieux.
- Entrons, suggéra Savaş en lui donnant une tape amicale sur l'épaule.
Et interceptant le regard de Dugan vers ses hommes, à qui il fit signe de l'attendre, Savaş intervient :
- Chez moi, tes hommes n'ont pas besoin de rester en garde-à-vous Dugan. Et sans s'attendre à une reponse de celui-ci, il s'écria à l'attention de l'un de ses hommes qui se tenait en retraite :
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Bébé à l'improviste...
RomanceQuand sa nièce, l'avait appelé pour s'inviter chez elle ; Zahra ne s'était pas doutée que cette dernière était enceinte et ne souhaitait venir en France que pour fuir le scandale et la fureur de son père. Et c'était le début du déluge qui envahit sa...