Une Dernière Vie

152.

Le Sultan envoie une lettre au gardien de Jérusalem, il l'autorise à attaquer le temps qu'il arrive à Jérusalem.

Les sionistes portent leur drapeau blanc et bleu puis s'approche de la mosquée Al Aqsa. C'est leur première cible. Après l'avoir détruite, ils pourront construire le troisième temple et dominer Jérusalem pour toujours.

Ils s'approchent de la mosquée. Ils constatent avec surprise que certains de leurs frères juifs sont devant. Ils entourent la mosquée.

- Que faites-vous ? Crie le chef sioniste.

- Nous vous laisserons jamais la détruire. Nous sommes sous pacte avec les musulmans. Laissez nous et eux en paix ! Répond un des juifs.

Les sionistes se regardent entre eux.

- Allons-y, mes frères ! Si les traîtres ne veulent pas le Grand Israël, nous, nous le voulons ! Crie le chef, prenons notre revanche des musulmans ! Allez !

Les sionistes s'approchent de la mosquée, ils sortent leurs épées. Ils combattent avec leurs frères juifs, jusqu'à l'arrivé du Sultan suivis par les musulmans.

- Attrapez les ! Crie Erhan.

Les musulmans s'approchent des sionistes. Ils sont deux fois plus nombreux que les ennemis. Les deux côtés sortent leurs épées et se combattent.

- Fuyez ! Crie le chef sioniste.

Erhan lève sa tête vers le haut en faisant un sourire en coin, il les regarde courir.

- Attrapez le chef et enfermez le dans les cachots du palais. Leur dit-il.

Les hommes d'Erhan hoche la tête. Il descend de son cheval et tend une lettre à un de ses hommes.

- Emmenes cette lettre à la capitale, pour ma mère. Lui dit-il.

Il hoche la tête puis s'en va. Erhan s'en va à la rencontre de ses sujets. Ils s'inclinent tous.

- Vous avez protégés notre lieu saint alors que nous ne sommes pas de la même religion, je vous en remercie. Dit Erhan.

- C'est un honneur pour nous, mon Sultan. Votre père, le Sultan Rehan, depuis qu'il nous a mis sous la protection de l'Empire, nous vivons en paix. Et nous devons vous remercier, vous avez sauvés nos familles d'Europe. Lui répond l'un d'entre eux.

Erhan hoche la tête.

REHAM

Je m'habille en regardant mon miroir. Je pose ma couronne sur ma tête. Je suis prête.

- Je vais m'en aller pour la deuxième fois de ma vie, là-bas. Dis-je en souriant.

- Quand étiez-vous partis, Sultana ? Me demande-t-elle.

- Quand Rehan était en vie... nous avons fais le hajj ensemble. Dis-je tristement, c'était après que ma conversion à l'Islam. C'était magnifique.