Une Dernière Vie

158.

Nous arrivons enfin en Angleterre. Devant le palais de la Reine. Les gardes au devant nous arrête. Nos hommes sortent de leur cachette puis tuent les deux gardes. Ils nous ouvrent la porte puis s'avancent toujours en tenant leurs épées.

- Par là. Nous dit Djibril.

On le suit. Nos hommes tuent chaque gardes qu'ils croisent. On continue à s'avancer jusqu'à la salle du trône. Djibril nous aide à l'ouvrir.

On rentre et on voit la Reine, entourée de plusieurs hommes. Elle me regarde en souriant. On s'avance vers eux, je tiens même une épée dans ma main.

- La grande Sultana Reham dans mon palais. Dit-elle en riant, je doute que vous sortez d'ici en vie. C'est une triste fin, n'est-ce pas ?

- Peut-être que ça fait plusieurs années que tu m'as envoyé ton ambassadeur mais je n'ai toujours pas changée de position. Nous n'avons peur que de Notre Créateur ! Lui dis-je.

Elle fait un sourire en coin puis la porte s'ouvre. Ses hommes arrivent aussi. Ils nous encerclent.

- Adieu, Sultana. Dit-elle en souriant.

Je la vois se retourner et partir. Je sers mes poings. Il faut que je l'attrape avant qu'elle ne s'en aille ! Murad, Djibril et nos hommes m'entourent pour me protéger. Ô Allah... sauve nous.

- Ya Allah ! Entendis-je.

Je vois les gardes devant nous tomber un par un, morts. Je vois Ibrahim les tuer avec son épée, suivis de nos hommes. Murad combat à ses côtés, je m'éloigne mais garde tout de même mon épée à mes côtés.

D'un coup, je vois un homme se dirige vers mon Murad de dos. Il allait lui planter son épée. Je prends rapidement mon poignard de ma ceinture et le lance sur l'homme. Je soupire de soulagement en le voyant tomber. Il allait tuer mon petit fils.

- Sultana, vous allez bien ? Me demande Ibrahim.

- al hamdulilLah, Ibrahim. Mais la Reine s'est enfuis. Envois nos hommes l'attraper. Lui dis-je.

Il hoche la tête puis s'en va en courant. Djibril s'approche de moi.

- Sultana, il y a un tunnel de secours. Nos hommes devraient se mettre à l'entrée, et nous à la sortie. Ainsi, on pourra la bloquer. Me dit-il.

Je hoche la tête. Murad et moi, on le suit. Je constate qu'il y a réellement un tunnel. Je rentre dedans avec Murad. J'entends des bruits de pas puis je vois la Reine entrain de courir. Elle s'arrête soudainement en me voyant.

- De l'autre côté ! Crie-t-elle.

Mes hommes arrivent et l'arrête. Elle se trouve bloquée entre nous.

- Il y a quelques secondes, tu me parlais avec fierté parce que tu savais que je ne pouvais rien te faire avec tes hommes. Mais comme l'on dit... l'arroseur arrosé. Dis-je en souriant.

Mes hommes l'attrapent par les bras.

- Tu as tuée mon fils, crois moi que tu me le paieras chère. Très chère. Lui dis-je froidement.