StepBrothers Games | Terminée

#Game 50 - Hugo 🔞

HUGO

Quand le plus grand des bonheurs cache une terrible nouvelle...

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Lundi 08-10-2 018《 Maison de John à Paliers》

02 h 00 - Je n'aurais pas pu rêver mieux que mon homme pour me faire l'amour. Yohan est doux, attentif, respectueux et tellement prévenant qu'à ce moment, il a même plus besoin d'être rassuré que moi, alors qu'il me demande, soucieux :

— Hugo, regarde-moi. Je veux juste vérifier, si...

— Ça va aller Yohan... Je sais que tu seras tendre et à l'écoute de mon ressenti.

— Mais...

— Embrasse-moi !

Nos lèvres se réclament, se retrouvent, et intensifient cette flamme qui ne cesse de grandir entre nous.

Je replie mes jambes et bouge mon bassin tout en frottant mon érection sur la sienne, avant que Yohan ne prenne sa décision. Il dépose une nouvelle perle de lubrifiant me faisant frissonner, je sais que c'est indispensable. Son manche l'étale en montant et descendant le long de ma rondelle jusqu'à mes testicules. Elles se fripent, se durcissent sous l'effet produit par les caresses que Yohan effectue pour me détendre. Je me délecte de ces gestes tout en embrassant ses lèvres entrouvertes. J'aspire son souffle et Yohan me laisse prendre de lui ce dont j'ai envie. Il me laisse mener la danse de nos langues, et au moment où je m'y attends le moins, Yohan commence à me pénétrer. Juste un peu. Il a patienté jusqu'à ce que je baisse la garde pour éviter que je me crispe face à cette nouvelle intrusion.

Merveilleuse pénétration.

— Hugo ! Ça va ?

— Oui... Yohan...

J'ai le souffle coupé.

Je peine à lui répondre.

Je suis submergé par une bouffée de chaleur qui gagne mon corps. Elle m'embrase. Me consume. Et j'en veux encore...

L'intensité est multipliée par dix mille. Par un million. Ses iris verts ne me quittent pas et la profondeur de son regard ajoute à toutes les sensations qui envahissent déjà chaque parcelle de mon être. Yohan aspire mon souffle, mes râles, l'essence même de mon existence tandis que je me perds dans ces abîmes...

Et c'est en se noyant l'un dans l'autre que Yohan progresse en douceur. Lentement. Il s'enfonce un peu plus avant de se retirer un peu, enclenchant un début de va-et-vient avant de revenir dans mes chairs. Cette sensation est indéfinissable, c'est un délicieux mélange de tiraillements, de plaisirs, et de bouffées de chaleur qui se propage dans tout mon corps.

— Oh ! Yohan, c'est...

— Hugo... T'es si serré, si...

Mon homme se lâche enfin maintenant qu'il est rassuré.

Ses ondulations sont longues, amples, et m'arrachent une série de gémissements que je n'arrive pas à réfréner, alors qu'il se couche sur moi pour venir m'embrasser. Mes doigts naviguent sur son dos tendu par l'effort. Ses muscles roulent sous mes caresses. Tandis que ses mouvements sont de plus en plus fluides. Yohan n'a pas besoin de me brusquer, car chaque coup de reins est si intense, que je pense jouir à chacun d'eux. 

Il descend sur mon torse et avale un de mes tétons tandis qu'il se met à me branler. Mes attentions, mes perceptions partent dans tous les sens tant mon plaisir se partage. Au moment où je pense atteindre la délivrance, je crispe mes mains dans ses cheveux et autour de sa nuque en attendant ce point de non retour. Mais Yohan se stoppe sous mon regard voilé par le plaisir torride que je ressens. Il se redresse et en m'octroyant un sourire canaille, il soulève mes hanches pour placer ses genoux sous mes fesses afin de s'enfoncer de plus en plus profondément.