StepBrothers Games | Terminée

#Game 71.1 - Yohan 🔞

FRERES DES JEUX

On devrait calmer nos ardeurs... 

📍 CE CHAPITRE EST EN 2 PARTIES 📍

💥LA SUITE CE SOIR A 18H30 💥

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Dimanche 21-10-2 018《Maison de John à Paliers》

03 h 30 - Nous venons de rentrer du cercle, et nous sommes épuisés après cette journée et cette soirée bien remplies. Heureusement que nous sommes en vacances. Ces deux semaines vont nous faire du bien et on va pouvoir récupérer au niveau du sommeil. Hugo sort de la douche à son tour, il noue une serviette autour de ses hanches sans me lâcher du regard, après avoir balayé mon corps tout entier. Contrairement à lui, je ne trouve pas indispensable de couvrir mon intimité pour me brosser les dents. Je ne l'ai jamais fait et ce n'est pas maintenant qu'on est ensemble, que je vais me faire chier à en passer une.

Les habitudes ont la vie dure.

La peau encore luisante, Hugo prend place à côté de moi, et c'est ensemble que nous finissons de nous laver les dents en regardant le reflet de l'autre dans le miroir. Ses iris charbonneux brillent à la simple vue de nos corps nus. Pourtant je vais devoir être raisonnable pour deux et le laisser se reposer parce que ses magnifiques yeux sont entourés de cernes marqués par le manque de sommeil et la peur de flancher.

— Hugo, ça va aller ?

— Oui ! J'ai dépassé mon heure. Je n'ai qu'une envie, c'est de me coucher tout contre toi.

— Alors, viens... On va dormir, tu as du sommeil à rattraper.

— Ton lit ou le mien ?

— Le mien... Si l'envie de fumer te prend, tu seras moins loin.

— Ton balcon devrait passer le reste de la nuit tranquille, m'avoue-t-il en l'accompagnant d'un clin d'œil.

Nous nous allongeons face à face, sa serviette jonchant le sol, nous voilà nus tous les deux. Mes doigts caressent son début de barbe tout aussi brune que ses cheveux.

— C'est la première fois depuis qu'on se connaît que tu passes autant de temps sans te raser.

— Ça fait seulement quatre jours, Yohan. Mais si elle te dérange, je peux aller me raser...

— Non, bien au contraire. J'aime ce côté viril, elle te rend plus mâle encore, et elle est si douce sous la pulpe de mes doigts, que... Tu es beau, mon homme.

— Tu parles ! T'as vraiment besoin de lunettes.

— Hugo ! Tu veux bien arrêter de dire des conneries.

— Ne me dis pas que tu apprécies mes cernes ?

— J'aime tout de toi... Et tes cernes sont juste le reflet de tes tourments, lui avoué-je en les lissant du bout de mon pouce. Alors oui je les aime, parce qu'elles ne me mentent pas.

— Je t'ai promis que je ne te cacherai plus rien de mes démons...

— Je sais, mais au cas où tu serais tenté de le faire, elles seront là pour me prévenir.

Sa tête se pose sur mon cœur, qui tape un peu plus fort, après lui avoir parlé de mon inquiétude, alors que sa main se promène sur mes abdominaux. Hugo suit méthodiquement chaque sillon creusé. Je sais qu'il a besoin de se perdre pour oublier ses tentations. Mais en parler, j'en suis sûr, est une façon tout aussi efficace pour extérioriser.