StepBrothers Games | Terminée

#Game 143 - Yohan 🔞

FRERES DE JEUX

Ils ne vont pas nous attendre indéfiniment, alors soit on passe à l'acte maintenant, soit on résiste... Mais il faut prendre une décision. Après tout, on ne va pas passer à côté d'une si belle tentation. Ils ont voulu qu'on fasse du shopping, ils patienteront bien quelques minutes, le temps que mon homme et moi, fassions redescendre la pression !

Merci à tatalie-18 bamboue cathyzene x-Cyn-x 

StellaNoWriter celenalana krisnathrose mimiminou54 

Celkpz Celine74100 pour leur participation au prélude !

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Dimanche 23|12|2 018

Centre commercial des trois vallées - Andorre

16 h 00 | Hugo croit que je n'ai pas vu clair dans son jeu ? Je sais ce qu'il se trame dans sa jolie tête brune. Il veut me chauffer, m'exciter pour que j'arrête de râler. Et ça fonctionne. Mais je vais à mon tour le faire marcher encore un peu.

— Tu sais que j'ai envie de toi depuis ce matin et, toi, tu m'accueilles juste avec...

— Un caleçon, Yohan. Ça va, je ne suis pas à poil non plus.

— Non, mais tu pourrais bien l'être dans quelques secondes si...

Mes mains continuent leur progression sur son torse. Je sais où et comment le caresser pour le faire réagir. Je souris en entendant ses petits souffles qu'il essaye de calmer. Mon érection n'en finit pas de durcir. Je le désire tellement que je ne fais rien pour calmer cet incendie, qui brûle en moi.

Mes doigts délaissent son téton pour se diriger vers ses abdominaux.

— Yohan... Arrête.

— Tu as voulu me tenter pour faire grimper mon envie...

— C'était juste pour pimenter notre shopping.

— Tu me chauffes et maintenant tu veux stopper les choses ?

— C'est plus raisonnable...

— Tu en es sûr ?

Je le surprends en empoignant sa queue à pleine main. Ses yeux s'écarquillent d'étonnement. Mais c'est surtout son trouble que je perçois tant il transparaît au travers du miroir qui nous fait face.

— Cette vision est d'un érotisme fou.

— C'est vrai que nous sommes beaux, valide Hugo.

— Surtout quand tes yeux deviennent mi-clos, alors que je te branle.

Mes mots accompagnent mes gestes. Lents. Précis. Ils décuplent notre plaisir, nous revoient cet acte charnel. Sensuel. Ma main délaisse quelques secondes sa queue bien tendue pour accéder à l'élastique de son caleçon. Hugo arrête de respirer en attendant la suite. Son regard explicite trahit son impatience tandis que mon index longe la bordure du tissu en effleurant sa peau. Ma caresse ralentie en croisant ses quelques poils pubiens, que je titille.

— Respire.

Hugo inspire une grande quantité d'air et je profite de ma diversion pour passer à l'offensive. Mes doigts glissent sous le coton, guidés par sa toison noire, avant de les enrouler autour de sa virilité palpitante.