StepBrothers Games | Terminée

#Game 135 - Yohan

FRERES DE JEUX

Le chocolat chaud, préféré de Hugo, est enfin chaud, même s'il manque la chantilly, mais accompagné de viennoiseries. Nous sommes prêts à déguster avec mon homme en mode koala, rien de tel pour être aux anges. Même si j'aurais préféré le laisser refroidir pour que mon Roi m'octroie un plaisir indéfinissable, installé l'un contre l'autre devant le feu.

Merci à x-Cyn-x krisnathrose Celine74100 celenalana 

FIBULON bamboue Celkpz StellaNoWriter LisaDpb pour avoir compléter le titre !

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Samedi 22|12|2 018

Chalet des marmottes - Andorre

16 h 00 | Faute d'avoir déjeuné, nous nous rabattons sur un goûter, version XXL. Je prépare un vrai chocolat chaud pour mon homme, qui irradie de bonheur. Il adore quand je lui fais l'amour, mais il est d'autant plus comblé lorsque c'est lui qui nous apporte cet état exquis de volupté.

Ça a été intense, tout en douceur. Hugo a pris le temps de me déguster en me rendant fou en me faisant languir pour que le plaisir n'en finisse pas de monter comme il me l'a confié avec un grand sourire aux lèvres. Comme si j'avais besoin de ça pour en ressentir un maximum.

Depuis que je suis avec Hugo, il lui suffit de poser ses mains sur moi pour que j'aie envie de lui, de ses attentions, de son amour. Je n'ai jamais connu une telle alchimie avec aucun autre.

De plus, c'est un amant véritablement doué.

Je mords ma lèvre inférieure rien qu'en repensant à cette dernière heure. Je serais bien resté couché dans notre lit, lové dans ses bras, même si nos corps repus étaient recouverts de ce voile brillant de sueur. Je n'avais pas envie de quitter ce moment de douce euphorie. Mais le besoin de se nourrir nous a poussés à nous lever. A nous doucher, où nous sommes juste câlinés.

— Tu repenses à nos deux corps emboîtés ?

— Que de romantisme !

— Je l'ai été bien assez tout à l'heure. Tu ne trouves pas, mon amour ?

Hugo se lève pour vérifier si le chocolat est prêt et il en profite pour coller son torse à mon dos. J'attends ses bras, qui normalement entourent ma taille. Mais là, rien. Hugo presse juste son corps contre le mien.

Ce manque de tendresse m'emmerde.

— Alors, ce chocolat, tu crois qu'il va être bientôt prêt ?

— Et après tu oses dire que c'est moi qui suis impatient !

Je remue le lait pour terminer de faire fondre les morceaux de chocolat quand ses mains tant espérées se referment sur ma taille. Sans le préméditer, je souffle de soulagement.

— Tu pensais que j'allais nous en priver ?

Je ne sais plus à quoi m'attendre en ce moment.

— J'en sais rien...

— Ça a le mérite d'être clair.

Hugo m'embrasse dans le cou et n'a pas l'air de se formaliser de ma réponse.