StepBrothers Games | Terminée

#Game 71.2 - Yohan 🔞

FRERES DE JEUX

... ou d'y céder ?

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Dimanche 21-10-2 018《Maison de John à Paliers》

04 h 30 - Hugo n'a pas de mal à se mettre sur son flanc avec l'huile qui recouvre nos hauts du corps et j'en fais de même.

— Je suis désolé, j'ai gâché ce bon moment.

— Yohan ! Cesse de t'excuser, je sais que tu te fais du souci et que ce n'est pas simple pour toi de déchiffrer tout ce qui se passe dans ma tête.

— J'avoue que j'ai encore des progrès à faire, c'est un tel bordel là-dedans, souris-je timidement tout en tapotant mon index sur sa tempe.

— Qu'est-ce que tu dirais si on mettait au point un code ?

— Genre une alerte qui me prévient que tes démons reviennent ?

— Oui ! Je pensais à "code rouge", mais "alerte rouge", ce n'est pas mal aussi !

— Tant qu'à faire, je préfère "alerte à Malibu", c'est plus fun !

— En effet, ça l'est, mais je ne suis pas sûr que ça colle avec l'état de mal-être dans lequel je serais si je replonge.

— Ah oui, merde. Je me suis emballé ! Donc va pour "code rouge". C'est ce qui t'est venu instinctivement.

— Ça marche...

Hugo colle sa joue contre mon torse avant de grimacer.

— Tu as abusé de l'huile non ?

— Tu voulais que ça glisse, alors, j'en ai peut-être mis un peu trop.

Hugo se penche et ramasse la serviette qui entourait ses hanches à la sortie de la douche et commence à frotter mon torse avec une minutie qui m'arrache un sourire en coin.

— Ça va aller, non ?

— Attends, regarde. Il t'en reste encore un peu là.

Mon homme se marre tandis qu'il insiste avec un bout de sa serviette pour retirer selon lui une dernière trace de l'huile de massage. Mais à sa façon de faire, je suis persuadé que je n'en suis plus couvert.

— C'est bon là, je pense que je suis assez propre, affirmé-je tout en lui retirant le tissu éponge.

Hugo fait la moue, car il allait atteindre mon manche qui brille comme un ver luisant après avoir coulissé à plusieurs reprises entre ses fesses.

— Tu aurais pu me laisser faire, il ne me restait que ce bout à nettoyer. Et quel bout, envie-t-il tout en se mordant la lèvre du bas après avoir léché cette dernière.

Ses pupilles étincellent du plaisir charnel qu'il ressent rien qu'en fixant mon corps sans doute encore un peu brillant. Il ne quitte pas mon regard alors que sa main glisse avec lenteur le long de son torse, puis de ses abdominaux et il termine son vagabondage sur son manche qu'il saisit à pleine main. Rien que cette façon de se branler est en train de me rendre dur et il ne perd rien du spectacle que lui offre le mien qui n'a de cesse de se redresser.

— Tu devrais m'imiter, Yohan.

Hugo termine à peine sa phrase qu'il descend du lit et me demande :

— Allonge-toi sans arrêter de te branler !

Sans quitter son regard, je fais ce qu'il me demande, car je sais pertinemment que je n'aurai pas la force de lui dire non.