StepBrothers Games | Terminée

#Game 123 - Yohan

FRERES DE JEUX

C'est imprévu, mais bon, délicieux et tellement génial quand mon homme prend les commandes. Il ne manque vraiment pas d'imagination, et je ne regrette pas de le laisser me commander pour un moment explosif, jouissif et dès plus exaltant !

Merci à krisnathrose tatalie-18 celenalana Celkpz 

Dulce1503 x-Cyn-x FIBULON mimiminou54 

LisaDpb StellaNoWriter pour leur participation au titre !

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Lundi 10|12|2 018

Domaine Codet, route de St Léon à St Elion

00 h 30 | La soirée ne ressemble en rien à ce que j'avais en tête. Je n'avais pas prévu de tomber malade. Ni que Jenny viendrait taper un scandale ni que Millie et Karine seraient absentes du repas pour ramener l'ex-petite amie d'Arthur chez son père.

Rien de ce que j'avais organisé ne s'est réalisé à une exception près.

La fin de cette journée marathon...

Je suis là où je voulais être, blotti dans les bras de mon homme à reprendre mon souffle, mes esprits. J'étais pourtant craintif. J'avais peur de ne pas avoir assez de forces pour recevoir les attentions de Hugo. Conscient de mon état, Hugo a pris soin de moi comme il me l'avait assuré. Il a su me faire passer mon mal-être, ma fatigue, mon indisposition et le fait que je n'ai pratiquement pas mangé.

Pourtant il m'a suffi de le voir me mater avec ce sourire indécent pour tout oublier. Pour accomplir le vide dans ma tête. Pour n'être plus qu'avec mon homme. Comme seul au monde.

Je replonge avec plaisir dans cette dernière heure...

Tous mes maux s'envolent dès que je croise son regard, alors qu'il se tient adossé contre la porte de la chambre les mains dans les poches de son chino. Il me détaille avec tellement d'intensité que je pourrais fondre sur place. Sa façon de me scruter. De me sourire à m'en faire rougir. D'avancer vers moi avec tant de détermination, de me toucher avec tant de précautions, de m'embrasser avec tant de tendresse ou de fougue suivant les moments.

Tout.

Absolument, tout me bouleverse et rend ma reddition impossible. Pourtant je sens mon corps affaibli, convalescent. Je tremble de la tête aux pieds. Mais ça n'a rien à voir avec de la fébrilité. Non, mes sens répondent en symbiose à ses caresses. À sa façon de me déshabiller. Enfin, déshabiller est un grand mot. Alors que je me retrouve avec mon falzar sur les chevilles. Que ma chemise est entièrement déboutonnée, mais juste descendue sur la moitié de mon dos afin de la bloquer au niveau de mes biceps m'obligeant à laisser les bras le long de mon corps.

Hugo m'intime de rester debout, tandis qu'il place un fauteuil face à moi pour se mettre à hauteur de ma queue bandée, dressée et offerte comme une récompense à ses attentions. Hugo ne se prive pas de lui accorder de l'intérêt, de la cajoler avec passion afin d'assouvir ce désir, que nous avons muselé tout au long de la journée.

Il prend son temps pour me déguster, me câliner tout en nous apportant un plaisir incomparable. Je me délecte de ses coups de langue sur mon manche, mes testicules, alors que mon homme s'adonne à des succions redoutables sur mon bout. Haletant, je ne peux que le regarder me gober dans des va-et-vient lents, puissants, profonds.