OSCC Merci Elsa

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Merci. Avant de commencer cet OS, je veux vous dire merci. On a dépassé les 100k et... C'est incroyable. Je vous jure, c'est inimaginable, jamais je n'aurais pensé arriver jusque-là. Je veux dire, 100 000 lectures !! En comptant 182 parties, ça fait 100 000 ÷ 182 = 549.5 ! Plus de 500 personnes qui lisent ce livre, ça fait vraiment chaud au cœur. Merci pour vos commentaires, vos votes, vos avis, vos encouragements et tout simplement merci de lire ce livre. C'est un truc de dingue.



OS demandé par AnnabethJackson02. J'espère qu'il te plaira ! :)

Harold jeta un œil envieux aux enfants de l'autre côté du parc. Leur chien aboya joyeusement et les enfants lui couraient après en riant. Il aurait bien aimé avoir un chien lui aussi. Mais ses finances n'étaient pas les meilleures et il ne pouvait pas se permettre d'adopter un animal maintenant.

-Tu es au courant que tu es jaloux d'enfants de sept ans ? fit remarquer Jack, à côté de lui.

-Je suis pas jaloux, répliqua Harold. Je me dis qu'ils ont de la chance, c'est tout.

-Bien sûr, on te croit, railla Mérida, toujours partante pour taquiner son ami.

-Vous êtes méchants, commenta une jeune fille aux longs cheveux blonds.

-Merci Raiponce, dit Harold. Enfin quelqu'un qui me soutient dans ce monde cruel.

-T'exagères pas un peu là ? demanda Mérida en haussant un sourcil moqueur.

-Laisse, il est frustré parce qu'il s'est pris un énorme râteau hier, rit Jack.

-Je me suis pas pris un râteau, elle est partie parce que sa sœur avait besoin d'elle, contra Harold. Et tu sais comme moi qu'Elsa est loin de chercher un copain pour l'instant. Et en plus, c'est une de mes amies et on bosse ensemble, je veux pas sortir avec elle !

-Harold, faudra bien que tu te trouves quelqu'un tôt ou tard parce que tout seul, tu vas faire n'importe quoi, plaisanta Mérida. Déjà que nous, on arrive à peine à t'empêcher de te couler tout seul.

-Tu peux parler, s'offusqua Harold. Madame je préfère mon cheval aux humains.

-C'est bizarre, j'ai l'impression que tu te décris Harold, commenta Raiponce, levant à peine les yeux de son livre.

Les trois autres furent silencieux pendant un instant, avant que Jack et Mérida n'éclatent de rire devant l'expression trahie qu'affichait Harold. Raiponce était discrète mais quand elle ouvrait la bouche, on remarquait rapidement qu'elle avait une répartie mordante.

-Je vous hais, marmonna Harold.

C'était loin d'être la vérité. Harold, Jack, Mérida et Raiponce se connaissaient depuis longtemps, très longtemps. Harold n'avait pas souvenir d'un seul moment de sa vie qu'il n'avait pas passé avec au moins l'un d'eux. Harold les aimait de tout son cœur mais c'était vrai qu'ils avaient la faculté de l'énerver assez vite. Ils se connaissaient tous par cœur et les trois savaient exactement quels boutons presser pour le faire réagir.

-Bon, je dois y aller, finit par dire Mérida. Ma mère m'attend, elle veut que je l'aide avec les chevaux.

-Et je dois aller travailler dans une demi-heure renchérit Harold en vérifiant son téléphone. Gueulfor va me tuer si j'arrive encore en retard.

Les amis se séparèrent et Harold se dirigea vers l'arrêt de bus. Il n'avait qu'un seul autre arrêt à dépasser avant d'arriver au garage, aussi, il y fut plutôt rapidement. Il était même en avance.

-Te voilà ! s'exclama Gueulfor en le voyant arriver. C'est pas trop tôt !

-Je suis en avance Gueulfor, fit remarquer Harold en levant les yeux au ciel.

Si tu voulais m'aimerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant