« Avengers... Assemble »
À toi qui lis cette intro, j'espère que tu vas bien ^^ Assieds-toi, détends-toi et laisse-moi te distraire !
Voici un recueil d'Imagifs du MCU ! Je pense que vous connaissez le principe... Des histoires personnalisées où vou...
Menaçant la dizaine de femmes de son arme à feu, le bandit désignait d'un coup de tête un camion militaire volé.
Les prisonnières étaient bien forcées d'obéir, car elles savaient avec effarement que cet homme et ses complices n'hésiteraient pas à tuer pour obtenir de l'argent. Et c'était cela qu'elles étaient à leurs yeux : de la marchandise de valeur. Aucune ethnie, aucun âge n'était épargné ici. Toutes étaient condamnées à une chose : l'enfer.
Le port clandestin qui habitait ce trafic humain était le lieu parfait pour faire circuler les femmes enlevées par-delà le monde, et bien des trafiquants s'y retrouvaient. Ce qui en faisait le meilleur endroit pour une arrestation massive.
(t/p) avait été envoyée sur place par Interpol, afin d'évaluer le terrain et protéger les victimes lors de l'assaut du commando de sauvetage. De taille moyenne, les cheveux noués en natte et les yeux baissés, elle ne détonait guère parmi les autres détenues. Sa discrétion faisait ici sa force, et sa colère infinie envers ces monstres lui donnait plus de courage qu'il n'en fallait.
Elle jeta un coup d'œil aux immeubles abandonnés autour d'eux, et aux conteneurs massifs qui parsemaient le port. Près de chacun d'eux étaient postés des snipeurs et soldats des Nations Unies, prêts à intervenir dès qu'elle le leur intimerait. Et parmi tous ceux-là, une délégation avait été envoyée par le Wakanda, beaucoup impliqué dans ce genre de sauvetages depuis l'ouverture de leurs frontières. Ce qui avait entraîné nombre de coopérations entre les représentants des brigades et le Roi T'challa, ainsi que des amitiés profondes...
- Eh, toi là ! éructa soudain un bandit vers une femme immobile. T'es sourde ? Avance !
Pétrifiée, la pauvre ne pouvait que secouer la tête de terreur. Furieux, deux criminels pointèrent leurs fusils sur elle, pendant que l'autre gueulait :
- Dépêche-toi, ou on te crève !
Mais elle était incapable d'obéir : elle ne le voulait pas, et ses jambes refusaient d'avancer. (t/p) le comprit instantanément. Ils allaient tirer, et sans hésiter. Elle devait la protéger, avant que cet endroit ne devienne un bain de sang.
D'un signe de main, elle fit signe aux prisonnières de s'allonger sur le sol du camion silencieusement, afin d'être à l'abris des balles. Elle se redressa ensuite, tira un revolver de sa botte et le pointa sur l'un des bandit. Portant une main à son oreillette, elle s'exclama alors :
- Maintenant !
Sa balle transperça le ventre de sa cible, et tandis que les trafiquants se tournaient vers elle pour l'abattre ses compagnons s'engagèrent sur le terrain, créant une panique générale.
(t/p) courut vers la femme immobile et s'empressa de la prendre par le bras pour la mettre à l'abri. Alors que les coups de feu et les cris résonnaient, elles se baissèrent près du camion pour éviter d'être blessées. Malheureusement, le chauffeur n'était pas parti à la rescousse des siens...
Et le canon de son arme se trouva pointé sur la tempe de la courageuse (c/c). D'un regard, (t/p) su qu'elle ne pourrait rien tenter sans qu'il n'appuie sur la gâchette. Elle déglutit difficilement tandis que sa protégée fondait en larmes, mais elle ne baissa pas les yeux.
Elle ferait face.
- Crève, sale chienne ! hurla le criminel en se préparant à la tuer.
- Je t'interdis de la toucher !
Une forme noire, massive et sauvage, venait de surgir près d'eux. D'un coup de poing, l'homme masqué étala le trafiquant au sol, lui faisant lâcher son arme. Tandis que l'autre gémissait, le héros se redressa en position de combat, toutes griffes dehors.
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- Si tu lui fais du mal, je te réduirai en charpie, tonna-t-il sans détour.
Le chauffeur, se voyant sans défense face à la panthère noire la plus tenace et dangereuse de la planète, leva les bras en signe de reddition. Derrière lui, les autres bandits se firent maîtriser par les soldats d'élite du commando, et les détenues furent libérées sans plus attendre.
Esquissant un sourire, (t/p) accepta la main tendue de son sauveur masqué.
- Merci beaucoup T'challa, dit-elle en se levant.
Le jeune roi du Wakanda ôta son masque de fauve, dévoilant un regard brun grave :
- Il me semblait t'avoir demandé de ne pas prendre de risques, (t/p).
- Je n'allais pas les laisser tuer une innocente !
- Et c'est toi qui a failli en mourir ! contra-t-il accusateur.
- Je ne mourrai pas T'challa, sourit-elle pour le rassurer.
Ils ne s'étaient toujours pas lâché la main. Et T'challa resserra cette emprise en déclarant fermement :
- Pas tant que je veillerai sur toi, c'est certain.
Et il tint parole : jamais la panthère noire ne fut plus fidèle ange gardien, ni plus attaché.
